Mise en ligne le 04/03/2014 06:00
Aux échecs, il y a un principe connu (de Aaron Nimzowitch) qui dit que :"La menace est plus forte que l'exécution".
Etant moi-même un joueur d’échec, mettons nous un peu dans la tête de M.Poutine :
JO :
Je joue neutre, pas gâché mon plaisir et ne pas perdre un pion.
26/02/14 :
Engagement des troupes Russe pour un exercice proche de la Frontière de l’Ukraine.
26/02/14 => 04/03/14 :
Déroulement des exercices afin que l’UE et les US doivent faire la part des chose entre les éléments qui passent en Crimée et ceux qui servent de base arrière et les derniers qui sont vraiment dans l’exercice.
Pendant ce temps la, mes troupes se positionnent tranquillement avec armes lourdes et bagages en Crimée.
04/03/14 :
Je retire mes troupes comme programmé.
Après des exercices en déploiement extérieur, un retour en caserne est toujours nécessaire pour un "débriefing d'opération".
Ce qui n'exclus pas la prise de consigne pour un briefing d'opération par la suite.
Ou pour être encore plus précis, les exercices tout le long de la frontière de l'Ukraine est ce qu'on peut appeler un exercice de reconnaissance de terrain,
afin de déterminer une stratégie d'attaque concrète, que les satellites ne pourront pas indiquer (état du terrain, couverture du terrain, le vallonnement...)
04/03/14 => 07/03/14 :
Je laisse la pression redescendre un peu de manière a renforcé mes forces sur les places financières et analysé le « débriefing d'opération ».
Pendant ce temps la j’envois dans l’est de l’Ukraine des agents perturbateurs qui sont passé en même temps que mes troupes, qui vont déstabilisé l’EST.
J’augmente soit le tarif du Gaz ou du Pétrole soit en diminue la quantité fournis à l’ensemble de l’Europe en disant bien sur que c'est des pb technique non lié à la Crimée. » sabotage de vannes en Ukraine ».
07/03/14 => 08/03/14 :
Grosses manifestations en Ukraine qui dégénères.
09/03/14 => 15/03/14 :
Mise en place de foyer de révolution dans toute l’Ukraine.
16/03/14 :
A partir de cette date intervention de l’armée russe dans l’Est de l’Ukraine voir plus ….
Alain Ambroise
http://www.debout-les-patriotes-de-france.fr/2014/03/ukraine-etant-moi-m%C3%AAme-un-joueur-d-%C3%A9chec-mettons-nous-un-peu-dans-la-t%C3%AAte-de-m.poutine.html
La Russie pourra ne pas rembourser des crédits américains (conseiller de Poutine)
Des sanctions des Etats-Unis contre des structures d'Etat russes obligeront la Russie à reconnaître l'impossibilité de rembourser les crédits des banques américaines, a déclaré le conseiller...
La nouvelle stratégie de guerre de l’OTAN
Mondialisation.ca, 28 février 2014
Une Pinotti[1] rayonnante de joie, pour sa première sortie à l’OTAN (le rêve d’une vie), a participé à la réunion des ministres de la défense qui s’est tenue les 26-27 février au quartier général de Bruxelles.
Premier point à l’ordre du jour l’Ukraine, avec qui –soulignent les ministres dans leur déclaration- l’OTAN a un « partenariat distinctif » dans le cadre duquel elle continue à « l’assister pour la réalisation des réformes ». Prioritaire « la coopération militaire » (passe-partout avec lequel l’OTAN a pénétré en Ukraine). Les ministres «félicitent les forces armées pour n’être pas intervenues dans la crise politique » (en laissant ainsi le champ libre aux groupes armés) et réaffirment que pour « la sécurité euro-atlantique » une « Ukraine stable » (c’est-à-dire stable sous l’OTAN) est fondamentale.
Les ministres ont ainsi traité le thème central de la Connected Forces Initiative, qui prévoit une intensification de l’entraînement et des manoeuvres qui, conjointement à l’emploi de technologies militaires toujours plus avancées, permettra à l’OTAN de maintenir une grande «promptitude et efficience dans le combat ». Pour vérifier la préparation, se déroulera en 2015 une des plus grandes manoeuvres OTAN « live », avec la participation de forces terrestres, maritimes et aériennes de toute l’Alliance. La première d’une série, que l’Italie s’est offerte d’accueillir.
On potentialise en même temps la « Force de riposte de l’OTAN » qui, composée d’unités terrestres, aériennes et maritimes fournies en rotation par les alliés, est prête à être projetée à n’importe quel moment et dans n’importe quel théâtre de guerre. Dans l’entraînement de ses 13mille hommes, un rôle clé est tenu par le nouveau quartier général des Forces pour les opérations spéciales qui, situé en Belgique, est commandé par le vice-amiral étasunien Sean Pybus des Navy SEALs.
La préparation de ces forces entre dans le nouveau concept stratégique adopté par l’Alliance, dans le sillage de la réorientation stratégique étasunienne. Pour mieux l’expliquer c’est le secrétaire à la défense Chuck Hagel qui est intervenu à Bruxelles, après avoir récemment annoncé un futur redimensionnement des forces terrestres USA de 520mille à 450mille militaires. Mais pendant qu’il réduit ses troupes, le Pentagone augmente ses forces spéciales de 66mille à 70mille, en ajoutant une allocation de 36 milliards de dollars pour l’entraînement. Les USA, explique Hagel, « n’entendent plus être pris dans de grandes, et prolongées, opérations de stabilité outre-mer, à l’échelle de celles d’Irak et d’Afghanistan ». C’est la nouvelle façon de faire la guerre, menée de façon couverte à travers des forces spéciales infiltrées, des drones armés, des groupes (y compris extérieurs) financés et armés pour déstabiliser le pays, qui préparent le terrain pour l’attaque conduite par des forces aériennes et navales. La nouvelle stratégie, mise au point avec la guerre en Libye, implique un plus grand engagement des alliés.
Dans ce cadre le ministre Pinotti a eu l’honneur d’avoir à Bruxelles un entretien bilatéral avec le secrétaire Hagel qui, lit-on dans un communiqué du Pentagone, « a remercié Madame Pinotti pour son leadership et pour la forte contribution de l’Italie à l’OTAN, mission Isaf incluse ». Hagel a aussi exprimé le solennel « engagement de continuer à chercher des moyens d’approfondir la relation bilatérale avec l’Italie ». On peut donc attendre encore plus de la « relation bilatérale » avec les USA, outre les F-35, le Muos de Niscemi, la potentialisation de Sigonella et des autres bases étasuniennes sur notre territoire, l’envoi de forces italiennes dans les divers théâtres de guerre aux ordres, de fait, du Pentagone. Surtout maintenant que le ministre de la défense est Roberta Pinotti, dont le « leadership » a contribué à faire grimper l’Italie à la dixième place parmi les pays ayant les plus hautes dépenses militaires du monde : 70 millions d’euros par jour, selon le Sipri, tandis qu’on annonce de nouvelles coupes dans la dépense publique.
Manlio Dinucci
Edition de vendredi 28 février 2014 de il manifesto
http://ilmanifesto.it/la-nuova-strategia-di-guerra-dellalleanza/
Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio
[1] Roberta Pinotti, du Partito democratico, ministre de la défense dans le gouvernement Renzi
.
Vers la fin de l’OTAN médiatique ?
© Collage : La Voix de la Russie
Par La Voix de la Russie | La presse française, qui sur le dossier ukrainien témoigne de sa totale inaptitude à porter un regard neutre et non américano-centré sur les enjeux internationaux, a sans doute « cru » apercevoir un effritement du système Poutine récemment. Deux journalistes américaines travaillant pour la chaîne d’Etat Russia Today ont en effet, l’une démissionné, l’autre émis des critiques quand à la politique russe en Ukraine. Peu de temps après, un professeur du très réputé MGIMO aurait lui comparé Poutine à Hitler, se faisant ainsi sans doute involontairement le docile porte-parole des diplomaties américaine, tchèque ou lituanienne qui tentent de faire croire (mais à qui hormis aux journalistes ?) que la Russie serait prête à envahir l’Europe et déclencher une guerre.
Le rouleau compresseur du flux médiatique occidental fonctionne en parfaite adéquation avec les diplomaties des nouveaux allies de l’Amérique et de l’Otan en Europe de l’Est. L’objectif unique de ce dispositif organisé est l’extension à l’Est de sa propre sphère d’influence. Ces processus soutenus ont dès la chute du mur visé l’Est du continent et le monde postsoviétique avec des fréquences d’interventions variées, que l’on pense aux bombardements sur la Serbie, aux coups d’Etats organisés via les révolutions de couleurs ou à la création d’Etats fantoches au cœur de l’Europe afin d’y héberger des bases militaires americaines, comme par exemple au Kosovo. Les lecteurs intéressés peuvent se référer à cette excellente analyse de Michel Collon qui met en exergue les liens entre « extension de l’Otan et mensonges médiatiques ».
Cette extension militaire et politique à l’Est s’est accompagnée d’un flux médiatique autoritaire visant à légitimer aux yeux de l’opinion cette extension. La victoire médiatique de l’Occident américano-centré devait lui assurer la victoire des esprits. Ce dispositif médiatique totalitaire a lui mis en place des verrous psychologiques et techniques afin de contrecarrer les flux d’informations contradictoires et non-conformes. Toute personne osant critiquer la politique américaine en Europe ou pire, dire du bien du modèle russe, serait de fait un « agent d’influence russe » et un « outil de propagande du Kremlin ». Les communistes en leur temps traitaient de fascistes tous ceux qui ne pensaient pas comme eux, tandis qu’en leur temps également les fascistes traitaient de communistes ceux qui ne pensaient pas comme eux.
Bien sûr, il est difficile pour un journaliste ou un analyste étranger de tenir cette forte pression permanente en sachant pertinemment que chaque jour qu’il passe dans une structure d’information russe implique pour lui de faire un trait sur ca carrière de journaliste à l’Ouest, dans le monde soit disant « libre ». On peut évidemment ne pas être d’accord avec les positions des journalistes et analystes étrangers ou russes qui refusent de se soumettre à la pensée dominante et/ou travaillent pour des agences de presse russes. Mais on ne peut pas ne pas leur reconnaître une qualité qui fait souvent défaut à nombre de leurs confrères de l’Ouest : le courage. Car que l’on soit ou pas d’accord avec la ligne éditoriale d’un média d’Etat comme l’AFP ou Russia Today, cela demande beaucoup plus de courage de travailler dans le second, a contre courant, que dans le premier.
Sous perfusions de l’Etat car hautement déficitaire, la presse francaise est elle en outre de plus en plus malmenée par des blogueurs et des plateformes d’analyses strictes et sérieuses. Certains se sont même récemment demandés pourquoi Internet regorgeait de commentaires favorables à la Russie et à la gouvernance Poutine. La lecture des commentaires sous l’article apporte sans doute un embryon de réponse. Hormis les accusations de « cellules informatiques sous le contrôle du FSB ou de l’ambassade de Russie », accusations qui traduisent d’incurables pathologies, quiconque suit la presse francaise sait aujourd’hui parfaitement qu’Internet a révélé une société civile 2.0 militante et déterminée, dont la blogosphère (qui souhaite faire entendre une voix dissonante à celle du mainstream médiatique) reflète assez bien l’esprit global.
Une blogosphère qui a clairement démontré durant ces dernières années que la multiplication des sources ne signifie pas forcément la diversité de l’information mais que le formidable développement des méthodes de communication 2.0 permet de ne plus subir uniquement le scenario narratif officiel et imposé.
Il y a donc des raisons d’être optimistes.
Les dissidents sous l’époque soviétique ont eux aussi longtemps pensé qu’ils étaient seuls et isolés. N
http://french.ruvr.ru/2014_03_10/Vers-la-fin-de-l-OTAN-mediatique-9908/
France : une Russe menacée par la Sûreté provoque l'indignation
Par La Voix de la Russie | Depuis 2004, Anna, une jeune Russe de 18 ans, née à Saint-Pétersbourg, vit dans les Yvelines avec ses parents. La Sureté Départementale de la Sécurité Publique va la harceler, lui donner l'ordre de venir lui parler pour devenir une informatrice à sa solde en échange de l'obtention de la nationalité française. En ces jours de crise virulente en Ukraine où les médias français ne donnent qu'une image tyrannique de la Russie alors que les Russes sont les amis des Français, la France montre par l'exemple de cette jeune étudiante russe qu'elle use de la répression et des méthodes employées dans les dictatures.
Rappel des faits. Anna est un excellent exemple d'intégration dans la culture et dans la société française. Elle est étudiante en hypokhâgne, aime la France et clame haut et fort sa fierté de pouvoir devenir française. Nous sommes au moment des manifestations contre le mariage homosexuel et l'adoption d'enfants par des couples de même sexe où 750 000 Français demandent la mise en place d'un référendum sur la loi Taubira et ne sont pas écoutés. La police contrôle, de manière totalement anormale, dans les lieux publics les Français qui portent des logos à l'effigie de la Manif pour Tous. Ces Français sont obligés de retirer leur tee-shirt, de monter dans les cars de police, sont amenés au commissariat et reçoivent une amende. Si de tels agissements avaient eu lieu en Russie, les médias français auraient parlé de répression, de dictature et du non respect de la voix du peuple. Il y a aussi les Veilleurs qui sont interpellés par la police. Des policiers ont dénoncé les ordres de leur hiérarchie qui visent les citoyens français qui manifestent pacifiquement. Certains policiers ont même démissionné, ne supportant plus d'être l'outil de la répression contre le peuple de France.
Menaces et délation. Anna est en procédure de naturalisation quand elle est convoquée. La jeune étudiante avait mentionné dans un courrier s'intéresser à la France, assister à des meetings. La mission de la jeune étudiante russe était simple quand elle se retrouve dans une pièce recouverte d'affiches de la Manif pour Tous : « Les policiers me demandent si je suis de droite car ils pensent que je vais à la Manif pour Tous. Ils m'ont posé des questions étranges. Vous êtes de droite ? Vous allez à la messe ? Pour eux c'était évident », dit Anna au Figaro. Les agents de la Sécurité Publique vont lui donner l'ordre d'espionner ses amis, les autres étudiants, des manifestants, en notant leur téléphone et adresses électroniques. Elle aura aussi pour mission de donner les noms de ceux qui sont actifs au sein de la Manif pour Tous.
Étudiante et Français choqués. Ses parents n'avaient pas eu à subir cette procédure avec la police. « C'est la procédure, vous n'avez rien à dire », lancent les agents à la jeune femme. « J'ai clamé que je n'étais pas une délinquante». Les agents usent de leur position de force. « Vous vous permettez d'arriver en retard et vous parlez de manière désagréable », lui fait-on savoir. « C'est scandaleux ce qui est arrivé. Il faut dire aux gens qu'il se passe des choses horribles que je considère injustes dans un pays qui se déclare libre et respectueux des droits de l'homme », termine Anna. Les Français sont aussi choqués par le comportement des agents qui appartiennent à une branche de la police. N
http://french.ruvr.ru/2014_03_10/France-une-Russe-menacee-par-la-Surete-provoque-lindignation-9621/
Un accord sur la flotte russe en 2010
Dès l'implosion de l'Union soviétique en 1991, la question de la flotte a envenimé les relations entre Kiev et Moscou, l'Ukraine indépendante revendiquant une partie de l'ancienne flotte soviétique de la mer Noire.
En 2010, après des années de querelles, les Parlements ukrainien et russe ont signé un accord sur la prolongation de 25 ans - jusqu'à 2042 - du bail de la flotte russe, en échange d'une réduction de 30% du prix du gaz russe sur lequel revient Le Figaro.
http://www.20minutes.fr/monde/1309822-20140226-ukraine-crimee-concentre-tensions
.
La Turquie se pose en défenseur des Tatars de Crimée
Vidéo
Quand des journalistes font leur métier et montrent les nazis qui ont pris le pouvoir en Ukraine:
Vers la fin de l’OTAN médiatique?
Voici la preuve que les tireurs d'élite sur les manifestants ET les policiers, ont été engagés par l'Opposition
K.Meghan, ex-militaire, bio environnement: "oui les militaires empoisonnent la population avec les chemtrails" =
Ukraine : L'Arabie Saoudite financerait le Mossad pour l'assassinat de scientifiques iraniens =
Les Pays baltes et la Pologne "inquiets pour leur sécurité" en appellent à l'OTAN !
L'Otan envoie des avions-radars au-dessus de la Pologne et de la Roumanie =
"La crise en Crimée est 1 test" Un test qui montre qu'aucun pays n'est plus souverain quand l'UE met la main dessus!
.
. .
Droit des enfants en situation de conflits armés : Communiqué du délégué syrien auprès des Nations Unies
.
.