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4 octobre 2012 4 04 /10 /octobre /2012 16:57

 

Jeudi 4 octobre 2012

 

Provocation De La Turquie D’Erdogan Pour Justifier Une Intervention Militaire En Syrie

 

Une provocation destinée à justifier
une guerre ouverte de la Turquie contre la Syrie?
  

 

 

Il est classique qu'un pays envahisseur justifie une guerre contre un autre pays en prétendant avoir été attaqué par lui alors qu'il n'en est rien. Rappelez-vous des "Incidents du golfe du Tonkin" qui ont servi à justifier la guerre américaine contre le Vietnam. Et aussi, Hergé, aux pages 20, 21 et 22 du Lotus Bleu, explique très bien comment l'impérialisme Japonais avait justifié l'invasion de la Chine :

http://mai68.org/spip/spip.php?article1740

(Si le lien ne marche pas (censure ?), essayer de rajouter www. devant mai68, ou de remplacer .org par .tv, ou les deux.)

Ce que raconte Hergé dans ces quelques pages n'est que l'exacte vérité !

Il se pourrait très bien que les incidents frontaliers récents entre la Syrie et la Turquie ne soient qu'un artifice monté de toute pièce par l'impérialisme américano-sioniste pour justifier une guerre ouverte de la Turquie, dont les actuels dirigeants sont à sa botte (*), contre la Syrie.

D'ailleurs, la Turquie a poursuivi jeudi 4 octobre 2012 ses bombardements sur la Syrie en "riposte" aux prétendus "tirs syriens meurtriers" sur le village frontalier d'Akçakale et a sollicité le feu vert de son Parlement pour les poursuivre, commençant ainsi une guerre contre la Syrie qui continuera si rien n'est fait pour y mettre bon ordre.

Conclusion : l'Occident a besoin d'une guerre ouverte de la Turquie contre la Syrie.

Cet événement prouve à lui seul l'échec des mercenaires islamistes, recrutés par l'impérialisme occidental un peu partout sur cette malheureuse planète, à venir à bout de la glorieuse résistance syrienne à l'impérialisme américano-sioniste.

Note (*) : Les dirigeants turcs, seulement, sont à la botte de l'impérialisme ; PAS la population ! :

http://mai68.org/spip/spip.php?article4510

(Mêmes recommendations que ci-dessus si le lien ne fonctionne pas)

 

    do
   
http://mai68.org/spip



Faire circuler rapidement et à grande échelle
afin d'essayer éviter une guerre
qui pourrait tourner à la troisième guerre mondiale

 

§§§§

 

 

Le parlement de Turquie autorise une opération militaire en Syrie
4 octobre 2012 | .

Un article de Konstantin Garibov et Khaldyz Olga
La Syrie et la Turquie au bord de la guerre
4 octobre 2012 | L’ONU et l’OTAN ont condamné l’incident avec le tir de mortier à la frontière entre la Syrie et la Turquie mercredi. Le Secrétaire général de l’ONU a appelé la Turquie à ne pas rompre les contacts avec la Syrie. L’OTAN a soutenu la Turquie, mais une réponse militaire collective à l’attaque de la Syrie n’a pas encore été décidée.

Syrie/attentats : Moscou condamne le silence occidental
4 octobre 2012 | La Russie est préoccupée par l’absence de réaction en Occident, et notamment au Conseil de sécurité de l’Onu, face aux attentats qui secouent de plus en plus souvent la Syrie, a déclaré jeudi le porte-parole de la diplomatie russe Alexandre Loukachevitch.

Pétition pour une enquête parlementaire sur les investissements qataris en France
3 octobre 2012 | .

Syrie : L’arnaque Martine Laroche Joubert et Christophe Kenck
3 octobre 2012 | Vidéo, publiée le 2 octobre 2012 par Karbalaqsa, disséquant le pseudo reportage de Martine Laroche Joubert et Christophe Kenck.

 

§§§§§

 

Déjà en avril 2012 !

.

La Turquie d’Erdogan/OTAN cherche à provoquer un incident frontalier avec la Syrie pour déclencher une intervention militaro humanitaire en Syrie en s’appuyant sur les Accords d’Adana de 1998. Le plan B (celui d'Annan) est décrit en détails dans un récent mémo du Brookings Institute : "Saving Syria:Assessing Options for Regime Change" Sauver la Syrie Evaluations des Options pour un Changement de Régime. Le titre parle de lui-même.

 

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Les médias occidentaux propagandistes font été de tirs sur la frontière Syro turque visant selon eux des réfugiés accusant le gouvernement syrien de Bashar al Assad de sciemment viser des civils syriens fuyant les zones de combats à proximité de la frontière turque. Le NYT a cependant précisé que l'origine de ces tirs n'étaient pas assurés. En clair on ne sait pas qui a tiré et ceux qui ont rapporté ces tirs sont bien évidemment les opposants au régime syrien d' Assad soutenus par le régime turc d'Erdogan.

Non contente d’avoir autorisé l’utilisation de son territoire aux mercenaires de l’ALS soutenus et entrainé par des forces spéciales françaises britanniques israéliennes et autres pour lancer des opérations militaires en Syrie contre les forces syriennes et massacrer des civils syriens, la Turquie joue pour la Syrie le rôle joué par la France et la Grande Bretagne en Libye avec les conséquences désastreuses que l’on connaît.

L’objectif est le même à terme : provoquer un afflux de civils syriens fuyant les zones de combat pour déclencher une opération R2P. Koffi Annan alors secrétaire général de l’ONU avait entériné ce type d’intervention en violation flagrante du respect de la souveraineté des états membres inscrite dans la Chartes de l’ONU.

Koffi Annan doit d’ailleurs se rendre en début de semaine à la frontière syro turque pour évaluer les besoins en aide humanitaires des réfugiés syriens puis ensuite s’envoler pour Téhéran pour discuter de la situation en Syrie et essayer de convaincre le gouvernement iranien principal allié du gouvernement de Bashar al Assad dans la région pour que ce dernier accepte l’ouverture de couloirs humanitaires avec bien entendu son escorte de militaires. Le 14 doit se tenir à Istanbul une réunion P5+1 et l’Iran sur le programme nucléaire iranien sur fond de pressions et menaces.

On peut se demander si Annan n’est pas entrain de négocier en coulisse pour le P5+1 : « corridors humanitaires » en Syrie contre moins de pression sur le programme nucléaire iranien ?

La Turquie justifie déjà une intervention militaire avec création de « corridors humanitaires » -ce que réclame le gouvernement Sarkozy depuis que le putsch militaire pour renverser Assad organisé par les forces spéciales françaises britanniques et autres avec la coopération de « journalistes » a échoué plusieurs de ces mercenaires français ayant été capturés - et ou zone protégée en territoire syrien à cause de cet afflux de réfugiés mais qui servirait en fait de base arrière pour des opérations de sabotage et assassinats contre le régime syrien d’Assad la Turquie « libérant son territoire ».

Quand les US ses supplétifs européens et autres ont attaqué l’Irak de Saddam Hussein des milliers d’Irakiens se sont réfugiés en Syrie la majorité s’y trouvant d’ailleurs toujours. Le gouvernement syrien de Bashar al Assad n’a pas demandé la création d’un « corridor humanitaire » en territoire irakien pour venir en aide à ces réfugiés fuyant les bombardements américains.

Les intentions de la Turquie sont belliqueuses et c’est une guerre de faible intensité qu’elle cherche à provoquer contre le régime de Bahsar al Assad pour le renverser faisant le jeu américano sioniste. La Turquie est membre de l’OTAN donc tout conflit Turquie Syrie engagerait les autres membres de l’OTAN inclus la France.

Les médias turcs dont le site todayszaman.com - qui reflète les positions gouvernementales turques- affirment que le gouvernement Erdogan est prêt à utiliser les Accords d’Adana signés entre la Syrie et la Turquie en 1998 pour éviter à l’époque une guerre entre les deux pays pour justifier une intervention militaire turque en Syrie.

En 1998 une guerre entre la Turquie et la Syrie était sur le point d’éclater principalement sur la base d’un contentieux portant sur le soutien du gouvernement syrien au dirigeant du PKK, Ocalan, qui s’était réfugié à Damas d’où il dirigeait les opérations de la branche armée du PKK - Parti des Travailleurs du Kurdistan revendiquant la création d’un état kurde englobant une partie de la Turquie, de la Syrie et de l’Iran - contre l’armée turque. Autre sujets de tension entre Ankara et Damas les revendications de la Syrie sur la région d’Hatay (où se trouvent actuellement les réfugiés syriens) et des disputes concernant l’approvisionnement en eau lié au Projet Sud Anatolie (GAP).

Les Accords d’Adana ont été conclus à l’initiative du ministre des affaires étrangères iranien de l’époque, Kemal Harrazi, et son homologue égyptien, Amr Moussa - le même qui a la tête de la Ligue Arabe a lancé l’offensive contre le gouvernement de Bashar al Assad et continue de prôner le renversement d’Assad - représentant chacun respectivement leurs présidents (Moubarak à l’époque pour l’Egypte). Les délégations turques et syriennes se sont rencontrées le 19 et 20 Octobre 1998 à Adana pour signer un accord de coopération contre le terrorisme (les actions du PKK dénoncées par la Turquie comme tel).

Selon les médias turcs la Turquie pourrait se prévaloir de ces Accords d’Adana pour qualifier les combats menés par le gouvernement syrien contre les opposants et mercenaires armés de l’ALS, et l’afflux de réfugiés qu’ils provoquent comme une menace à la « sécurité et à la stabilité de la Turquie ». Depuis le déclenchement il y a plus d’un an des opérations des mercenaires soutenus par les puissances occidentales et Israël pour renverser Assad l’annonce d’afflux de réfugiés est systématiquement utilisée par le régime d’Erdogan pour menacer d’une invasion militaire en Syrie.

L’Article 1 des Accords d’Adana stipule que :

« la Syrie sur la base du principe de réciprocité n’autorisera pas d’activité provenant de son territoire visant à mettre en péril la sécurité et la stabilité de la Turquie . »

Les médias turcs considérant que les combats entre les forces gouvernementales syriennes et l’opposition armée qui durent depuis plus d’un an ont provoqué un afflux de réfugiés syriens qui autorise la Turquie à prendre les mesures nécessaires pour assurer sa propre sécurité et sa stabilité.

Ce qu’omettent de mentionner ces médias turcs c’est que cet Article 1 des Accords d’Adana stipule « sur la base de la réciprocité ».

Autrement dit la Syrie de Bashar al Assad serait en droit de dénoncer ces Accords cet Article 1 publiquement violés par la Turquie et qui menace sa sécurité et sa stabilité depuis plusieurs mois à cause de :

- l’aide publique de la Turquie à l’opposition politique en exil syrienne le CNS sous la forme de réunions de celle-ci hébergées sur son territoire au cours desquelles il a été ouvertement fait mention du renversement du régime de Bashar al Assad

- l’aide militaire accordée par la Turquie à l’ASL - qui obéit à Erdogan et aux Frères Musulmans dont ce dernier est très proche - et aux mercenaires islamistes payés par la Qatar et l’Arabie Saoudite et entraînés par les forces spéciales françaises britanniques israéliennes et autres sous forme d’une base mise à disposition sous protection militaire turque et à partir de laquelle ces groupes armés lancent leurs opérations en territoire syrien inclus les massacres de civils syriens, nettoyage ethnique et autres crimes de guerre.

Par conséquent la Turquie d’Erdogan complice de tous ces crimes de guerre commis contre la population syrienne a elle-même violé ces Accords d’Adana les rendant au mieux caduques au pire justifiant des actes militaires de défense de la part de la Syrie inclus des tirs de missiles contre toute tentative d’intervention militaire turque en territoire syrien.

C’est clair qu’en aucun cas la Turquie ne peut se prévaloir de ces Accords d’Adana pour attaquer la Syrie y compris dans le cadre de la R2P pour laquelle d’ailleurs la Turquie aurait besoin d’une décision du CSONU ce qui reste peu probable la Russie et la Chine y restant totalement opposées.

Complément d'information

Le plan B ( celui de Koffi Annan) pour renverser le régime d'Assad après la défaite des mercenaires et forces spéciales étrangères à Homs est résumé dans un mémo, “Assessing Options for Regime Change” publié par le Brookings Institut, un think tank US trés influent en matière de politique étrangère américaine régulièrement fréquenté par Alain Juppé l'actuel ministre des affaires étrangères de Sarkozy.

Dans ce document ( voir PJ pdf anglais en haut de l'article sous la photo) page 4, "Saving Syria:Assessing Options for Regime Change", Brookings Institution on peut lire :

“An alternative is for diplomatic efforts to focus first on how to end the violence and how to gain humanitarian access, as is being done under Annan’s leadership. This may lead to the creation of safe-havens and humanitarian corridors, which would have to be backed by limited military power. This would, of course, fall short of U.S. goals for Syria and could preserve Asad in power.From that starting point, however, it is possible that a broad coalition with the appropriate international mandate could add further coercive action to its efforts.”

"Une alternative consiste à ce que les efforts diplomatiques se concentrent d'abord sur la fin des violences pour obtenir un accès humanitaire comme cela est fait sous la direction d'Annan. Cela peut conduire à la création de zones protégées et de corridors humanitaires qui devraient bénéficier d'une protection militaire limitée. Ceci bien sûr est loin des objectifs US pour la Syrie et pourrait maintenir le régime d' Assad au pouvoir. A partir de là, cependant, c'est possible qu'une large coalition avec un mandat international approprié puisse ajouter des actions coercitives à ses efforts"


Autrement dit le plan B d'Annan vise à introduire des forces armées en Syrie avec à terme comme objectif ce que les puissances occidentales ont toujours demandé : un changement de régime, le départ d'Assad.

La Russie et la Chine qui jusqu'à présent ont résisté par leur veto au CSONU à toute intervention militaire étrangère en Syrie feraient bien de lire ce mémo avant d'exiger d'Assad qu'ils fassent rentrer ses troupes dans leurs casernes sauf d'être encore une fois les dindons de la farce du complot occidental pour renverser l'un des seuls régimes alliés de la région. Ces deux pays doivent cesser leurs tergiversations et assumer leurs alliances sauf d'être considérés comme des alliés de circonstance par les petits pays visés par un changement de régime au profit de l'impérialisme américain et son satellite juif sioniste au Moyen Orient.


Lundi 9 Avril 2012
Mireille Delamarre
http://www.planetenonviolence.org/Provocation-De-La-Turquie-D-Erdogan-Pour-Justifier-Une-Intervention-Militaire-En-Syrie_a2606.html

 

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30 septembre 2012 7 30 /09 /septembre /2012 18:15

 

 

Provocations, Propagande et Manipulations de l’information Guerre médiatique : vers WW3

Par Menthalo – Al Djazaira a été conçu à l’origine par les frères David et Jean Frydman, des franco-israéliens. Jean Frydman, fut l’un des co-fondateurs et l’un des premiers dirigeants d’Europe 1, avant de passer à Télé Monte-Carlo et de diriger Régie N°1. On disait de lui qu’il était “le jardinier secret du paysage audiovisuel français”. La carrière d’Anne Sinclair lui doit beaucoup, puisqu’il était l’ami intime de son grand-père, Paul Rosenberg.  Jean Friedman sera le conseil d’Itzhak Rabin, de Ehoud Barak puis de Shimon Peres.

Après l’assassinat de Yizhak Rabin, les deux frères montent une chaine de télévision qui a pour but, d’après David, de rapprocher israéliens et arabes. Sur cette chaine, tout pourra être dit. L’Emir du Qatar accorde un prêt, que les frères Frydman doivent rembourser sur 5 ans, grâce à la publicité. Mais à force de taper sur tout le monde, les journalistes réussissent à générer un boycott de tous les annonceurs arabes. Au bout de 5 ans, faute de remboursement du prêt initial, l’Emir se retrouve  propriétaire de la chaine. Or cet émir du Qatar avait été mis sur le trône par Londres et Washington, qui venaient de renverser son père, trop proche de l’Iran. La liberté d’expression de la chaine va en faire le média de référence du Moyen Orient, d’autant plus crédible qu’elle avait attaqué Bush, et perdu 3 journalistes vedettes de ce fait. Après la mort de David Frydman, l’émir réorganise la chaine en 2005, en confiant le réaménagement à un homme de communication, proche de Washington et d’Israël, Mahmoud Jibril. Celui-ci va placer un de ses hommes, Wadah Khanfar, journaliste de “Voice of America” aux commandes de la chaine.


 

Poussé par Londres et Washington auprès de Khadafi après le rétablissement des relations diplomatiques de la Libye, Mahmoud Jibril sera de 2007 à 2010, Ministre du Plan et de facto, le N°2 du régime. Il va être l’homme de la privatisation des entreprises publiques libyennes. Traduisez la vente à des banques privées occidentales de la richesse nationale libyenne à laquelle va venir se rajouter un Hold-up parfaitement mené des Banksters internationaux grâce à leur pion Mahmoud Jibril:


(Source originale le WS journal) Après que les USA et l’Union européenne aient révoqué l’embargo en 2004, des dizaines de banques et sociétés financières étasuniennes et européennes affluèrent en Libye. Parmi lesquelles Goldman Sachs, une des plus grandes banques d’investissement du monde, dont le siège principal est à New York. Dans la première moitié de l’année 2008, l’Autorité libyenne d’investissement lui confia 1 milliard et 300 millions de fonds souverains (capitaux de l’État investis à l’étranger). La banque Goldman Sachs les investit dans un panier de valeurs et en actions de six sociétés : l’étasunienne Citigroup Inc., la banque italienne Unicredit et l’espagnole Santander, la compagnie allemande d’assurances Allianz, la compagnie énergétique française Électricité de France et l’italienne Eni. 

Un an après, Goldman Sachs communiqua à l’Autorité libyenne qu’à cause de la crise financière, le fonds libyen avait perdu 98 % de sa valeur, les 1 milliard et 300 millions se réduisant à 25 millions de dollars. Les responsables de l’Autorité libyenne, furieux, convoquèrent à Tripoli le responsable de Goldman Sachs pour l’Afrique du Nord. 
La rencontre fut turbulente, si bien que Goldman Sachs évacua précipitamment ses employés de Tripoli, craignant qu’ils ne fussent arrêtés. Comme la Libye menaçait d’intenter un procès qui aurait compromis la réputation de la banque aux yeux d’autres investisseurs institutionnels, Goldman Sachs lui offrit en dédommagement des actions privilégiées de la banque elle-même. Mais les Libyens étant à juste titre soupçonneux, l’accord ne fut pas signé. 
Restait ainsi ouverte la possibilité, redoutée par Goldman Sachs, que l’Autorité libyenne n’entreprit un procès international. 
Des cas analogues de « mauvaise administration de l’argent libyen » sont rapportés par une enquête publiée par le New York Times . Par exemple, la société Permal —unité de Legg Mason, une des principales sociétés de gestion d’investissements, dont le siège est à Baltimore— a administré 300 millions de dollars de fonds souverains libyens, qui ont perdu 40 % de leur valeur entre janvier 2009 et septembre 2010. En compensation, Permal a perçu 27 millions de dollars pour ses prestations. 
Même chose pour d’autres banques et sociétés financières, comme la hollandaise Palladyne, la française BNP Paribas, la britannique HSBCet le Crédit Suisse. 

L’Autorité libyenne menaçait d’entreprendre contre elles des actions judiciaires internationales, qui auraient endommagé l’image de ces « prestigieux » organismes financiers. Le tout s’est résolu de façon heureuse quand, en février dernier, États-Unis et Union européenne ont « gelé » les fonds souverains libyens. Leur « surveillance » a été confiée à ces mêmes banques et sociétés financières qui les avaient si bien gérés.
Et du vol on est passé à la rapine à main armée quand la guerre a commencé, en mars. À l’abri des chasseurs-bombardiers de l’OTAN, HSBC et d’autres banques d’investissement ont débarqué à Benghazi pour créer une nouvelle « Central Bank of Libya », qui leur permettra de gérer les fonds souverains libyens « gelés » et les nouveaux qu’ils tireront de l’exportation des hydrocarbures. Cette fois, sans aucun doute, en obtenant de forts rendements. (source)

 

En octobre 2010, l’Alliance Londres-Washington-Tel Aviv (+ Sarkozy) programme le bouleversement de la région MENA par ce que les médias aux ordres appelleront le “Printemps arabe”. Dés le 21 octobre 2010, Lindsey Williams révélait la date  du premier événement en Tunisie et celle du début de la guerre en Libye, dates données par ses contacts dans le Cartel des Pétroles.

Quand les événements commencent, Al Djazaira nouvelle mouture, qui est alors la chaine avec la plus grosse audience en langue arabe, révèle la véritable nature de sa nouvelle politique éditoriale. Elle va devenir le boutefeu et le chantre d’émeutes populaires spontanément programmées, organisées et mises en scènes. En même temps, la chaîne a un prédicateur vedette, prêcheur à l’américaine, cheikh yusuf al-Qaradawi, qui tresse des couronnes aux Frères Musulmans et à eux seuls. Avec le succès que l’on connait. Les manipulateurs sont en action et appliquent à la lettre le programme conçu par les Cartels de la City et de WS, et mis en œuvre par Israël et les agences de l’ombre …

Mahmoud Jibril sera Premier Ministre par intérim du gouvernement de transition et son “Alliance des Forces Nationales” va gagner les premières élections de l’après Khadafi en juillet 2012.

 

Al Djazaira va ensuite participer activement à la guerre en Syrie, enregistrant des pseudos scènes de bataille dans des décors créés au Qatar pour démoraliser les partisans de Bachar Al Assad. Ces fausses scènes de bataille vont envahir les écrans des chaines occidentales, qui vont diffuser une propagande médiatique à haute dose pour que les masses adhèrent aux interventions des armées de l’OTAN.

 

Début septembre 2012, Al Djazaira va monter en épingle un film produit, nous disent les médias, par un copte égyptien, Nakoula Bassseley. Tiens ? Ailleurs, il est écrit que le film aurait été financé par une souscription sioniste, mais que cet homme sort de nulle part. L’actrice porte plainte, disant que la plupart des scènes ont été tournées sur un écran vert pour faire des incrustations… et que les dialogues originels auraient été réenregistrés. Le tout pue le coup fourré de A à Z.

Des manifestations de colère des musulmans vont fleurir dans de nombreux pays à la suite de ce film ridiculisant Mahomet. Une équipe d’Al Quaida en Libye va attaquer des bâtiments annoncés comme consulaires, mais dont la géo-localisation semble controversée et assassiner un diplomate américain.

Ces salopards d’hommes de main d’Al Quaida, à l’origine recrutés par la CIA et formés par le Mossad et l’ISI,  au service des neo-cons, sionistes et va-t’en-guerre, font désormais circuler des images de l’ambassadeur américain trainé en ville par la foule.

 

NE VOUS LAISSEZ PAS MANIPULER

Ce film, ou du moins la version qui est sortie sur internet, a été créé pour enfanter des émeutes anti-américaines. Le meurtre du diplomate n’est pas l’acte d’une foule mais d’un commando commandité pour créer un incident diplomatique grave. Les images qui sortent aujourd’hui sur ce diplomate américain torturé, cherchent à dresser les foules occidentales contre ces sauvages d’arabes et de musulmans. Elles n’ont d’autre but que de justifier le déclenchement de la guerre contre l’Iran.

Simultanément, une campagne d’affichage dans le métro New Yorkais, première ville juive au monde, enfonce le clou et appelle à soutenir Israël, l’homme civilisé contre les “sauvages”.

Parfaite synchronicité, qui signe le crime…

 

Dans le livre de Peter Dale Scott et cette étude en 3 volets sur “la CIA, le 11 septembre, l’Afghanistan et l’Asie Centrale“, je relève ce passage, qui me semble terriblement d’actualité:

“ un rapport de 1963, rédigé par la Direction des planifications et des politiques  du Comité des chefs d’États-majors interarmées (JCS), fit savoir à ses généraux que «  la fabrication d’une série de provocations destinées à justifier une intervention militaire était réalisable et pouvait être accomplie à l’aide des ressources disponibles.  » Les incidents du golfe du Tonkin, le 11-Septembre et même l’assassinat de Kennedy peuvent être vus comme des événements qui furent en réalité « fabriqués », selon le modèle exposé en 1962 dans le Projet Northwoods (l’ensemble de propositions émises par le JCS pour justifier une invasion de Cuba en organisant des attaques sous faux pavillon).”

 

Je vous laisse mettre bout à bout tous ces éléments de la scène du crime. Les instigateurs et les manipulateurs de l’ombre sont les mêmes que ceux du “onze septembre”, leurs plans ont été dénoncés dans “la Mission anglo-saxonne  et bien avant par Carr dans “Des Pions sur l’Echiquier”. Leur but est de générer la Troisième Guerre Mondiale. Les flottes dans le Golfe Persique sont prêtes pour engager la bataille. Celle-ci permettrait de détourner le regard des masses, alors que le système monétaire et bancaire est au bord de l’implosion. Tout est dit.

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29 septembre 2012 6 29 /09 /septembre /2012 23:52

 

Vendredi 28 septembre 2012
irannuclearfac

 

« Une guerre contre l’Iran déclenchera la Troisième Guerre mondiale »
Global Research, septembre 26, 2012


« Notre puissance défensive a été fondée sur notre stratégie défensive et celle-ci est régie par la présomption que nous nous engagerons dans une affrontement militaire d’envergure contre une coalition menée par les États-Unis. » Brigadier-général Hossein Salami, commandant adjoint du corps des Gardiens de la révolution islamique, septembre 2012.)

* * *

Les États-Unis et Israël ont tous deux menacé de lancer une première attaque préemptive contre l’Iran, dont les conséquences seraient désastreuses.

En réaction à ces menaces incessantes, le commandant de la Force aérienne du Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI), le général Amir Ali Hajizadeh a prévenu qu’une attaque militaire des États-Unis et d’Israël contre l’Iran pourrait déclencher une Troisième Guerre mondiale. Il a également laissé entendre qu’Israël ne peut pas lancer une guerre sans le feu vert des États-Unis.

Selon le général Hajizadeh, le déclenchement d’une telle guerre risquerait d’occasionner une escalade militaire effrénée. Si l’Iran était attaqué, sa riposte viserait à la fois des cibles étasuniennes et israéliennes, y compris des installations militaires des États-Unis situées dans les pays voisins (par exemple en Irak, en Afghanistan, au Pakistan et dans les États du Golfe) :

Dans un discours dimanche au réseau d’information arabe Al-Alam, le général Hajizadeh a déclaré que les États-Unis et le régime israélien ne pourraient pas entrer en guerre avec l’Iran « indépendamment l’un de l’autre, c’est-à-dire que si l’un des deux commençait la guerre, l’autre se joindrait à lui ».

« Nous voyons les États-Unis et le régime sioniste s’appuyer fermement et nous ne pouvons pas imaginer le régime sioniste initier une guerre sans renforts des États-Unis. Pour ces mêmes raisons, si une guerre éclate, nous nous battrons définitivement des deux côtés et nous en prendrons aux bases étasuniennes », a-t-il affirmé.

« Si de telles conditions survenaient, une série d’incidents incontrôlables et ingérables auraient lieu et une telle guerre pourrait se transformer en Troisième Guerre mondiale. Cela signifie que certains pays pourraient entrer en guerre avec ou contre l’Iran », a ajouté le général.

Le commandant du CGRI a prévenu que si une guerre de la sorte était menée contre l’Iran, « les bases des États-Unis dans ces pays autour de nous et dans les pays voisins seraient visées et qu’elles seraient mêmes menacées par les peuples de ces États ». (Fars News Agency, 23 septembre 2012, c’est l’auteur qui souligne.)

Le monde se trouve à une dangereuse croisée des chemins. La déclaration du général Hajizadeh doit être prise au sérieux.

La préparation active d’une guerre contre l’Iran est en cours depuis les huit dernières années. Depuis 2005, les États-Unis et leurs alliés, dont les partenaires étasuniens de l’OTAN et Israël, sont impliqués dans le déploiement massif et l’entreposage de systèmes d’armes avancés. Les systèmes de défense antiaérienne des États-Unis, des pays membres de l’OTAN et d’Israël sont complètement intégrés. Israël ne peut pas agir sans l’appui de ses alliés.

Il s’agit d’un effort coordonné du Pentagone, de l’OTAN et des Forces israéliennes de défense (IDF) contre l’Iran. Plusieurs pays partenaires non-membres de l’OTAN, dont les États arabes limitrophes, sont également impliqués (les membres du Dialogue méditerranéen de l’OTAN et de l’Initiative de coopération d’Istanbul).

Désinformation médiatique

Influencée par le battage médiatique, l’opinion publique appuie tacitement cette initiative par ignorance ou indifférence face aux conséquences possibles de ce qui est considéré comme une opération « punitive » ad hoc ciblant les installations nucléaires au lieu d’une guerre totale.

La guerre contre l’Iran est présentée à l’opinion publique comme un problème parmi d’autres. Elle n’est pas vue comme une menace à l’humanité. Au contraire : on la voit comme une action humanitaire.

Représailles

Les médias occidentaux appellent à la guerre. L’objectif, consiste à inculquer implicitement dans la conscience des citoyens, par la répétition ad nauseam de reportages, la notion voulant que la menace iranienne soit réelle et que la République islamique devrait être « éliminée ».

L’Iran possède des capacités militaires significatives et le fait qu’une attaque à son endroit puisse mener à des représailles et à une escalade pouvant déclencher une « guerre mondiale » n’est pas un sujet de préoccupation.

Alors que la République islamique ne constitue pas une menace à la sécurité d’Israël, des militaires iraniens de haut rang ont souligné qu’advenant une attaque contre l’Iran, des représailles contre Israël sont envisagées et les conséquences pourraient être dévastatrices.

Samedi, le major-général Mohammad Ali Jafari, le commandant en chef du CGRI a affirmé qu’une invasion ennemie de l’Iran est possible, mais qu’une telle guerre mettrait fin au régime sioniste d’Israël.

...

« Il se peut que la guerre éclate, mais si les sionistes [le gouvernement israélien] commencent quelque chose, ce sera le début de leur annihilation et le point final de leur histoire », a-t-il ajouté.

Le major-général Jafari a entre-temps souligné que « personne n’ose lancer un assaut terrestre d’envergure contre l’Iran ».

Il a ajouté que si l’ennemi était sage, il n’y aurait pas de problème, « toutefois il n’y a aucune garantie qu’il sera rationnel et nous devons nous aussi nous préparer.

Plus tard hier, son adjoint le brigadier-général Hossein Salami, a prévenu que toute attaque du régime sioniste contre la République islamique d’Iran donnerait une opportunité à Téhéran de le rayer de la surface terrestre.

« Si les sionistes s’engagent dans une attaque contre l’Iran, cela offrira une opportunité historique à la Révolution islamique de les rayer de l’histoire géographique mondiale », a déclaré Hossein Salami samedi soir à la télévision d’État.

« Les menaces du régime sioniste ne nous préoccupent plus », a-t-il déclaré en ajoutant qu’Israël a des souvenirs amers de ses guerres de la dernière décennie avec les alliés régionaux de la République islamique, dont les mouvements du Hezbollah et du Hamas.

« “[En raison des échecs mentionnés ci-dessus], comment veut-il [le régime sioniste] représenter une menace contre la République islamique d’Iran » a demandé le brigadier-général.

Il a par ailleurs souligné que le pays était prêt à confronter toute agression : « Notre puissance défensive a été fondée sur notre stratégie défensive et celle-ci est régie par la présomption que nous nous engagerons dans une gigantesque bataille contre une coalition menée par les États-Unis. »

Vendredi, le commandant en chef des Forces armées iraniennes, le major-général Seyed Hassan Firouzabadi a lui aussi averti que Téhéran réagirait à toute agression contre son pays par une riposte « immédiate » et « continue ».

« Nous ne nous sentons pas menacés par les remarques fanfaronnes des dirigeants sionistes, car ce sont des créatures terriblement effrayées qui ne cessent de gueuler puisqu’ils savent que la réaction de l’Iran aux menaces sera toute prête, immédiate et sans relâche », a dit le major-général aux reporters en marge de la parade militaire du 21 septembre marquant l’anniversaire de la Semaine de la Défense sacrée, ici, vendredi matin à Téhéran.

« Les officiels du régime sioniste ont déclaré dans leurs estimations [militaires] que les opérations militaires contre l’Iran ne peuvent ni être menées par Israël, ni lui être utile », a-t-il ajouté.

Il a par ailleurs affirmé que les forces armées actuelles de l’Iran sont imprévisibles et que leurs stratégies et leurs actions ne peuvent être prévues par l’ennemi.

La Semaine de la Défense sacrée, commémorant les sacrifices des Iraniens durant les 8 ans de la guerre imposée à l’Iran par l’Irak en 1980, a débuté vendredi avec des parades de diverses unités de l’Armée de la République islamique, du Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI) et des forces du Basij (volontaires) dans le sud de Téhéran. (Fars News Agency, 23 septembre 2012, c’est l’auteur qui souligne.)


Renverser la tendance guerrière

Nous demandons à nos lecteurs de propager le message dans le monde entier.

Nous demandons à tout le monde aux États-Unis, en Europe de l’Ouest, en Israël, en Turquie et partout à travers le monde de s’opposer à ce projet militaire, de se soulever contre leurs gouvernements qui appuient une action militaire contre l’Iran et contre les médias qui servent à camoufler les implications dévastatrices d’une guerre contre l’Iran.

Le peuple israélien est uni en grande partie contre la détermination du premier ministre Netanyahou d’attaquer l’Iran.


Israël et l’Iran doivent parvenir à un protocole de non-agression.


Texte original: “War on Iran Will Trigger World War III”

Traduction : Julie Lévesque pour Mondialisation.ca

Copyright © 2012 Global Research
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A propos :

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Michel Chossudovsky is an award-winning author, Professor of Economics, Founder and Director of the Centre for Research on Globalization (CRG), Montreal and Editor of the globalresearch.ca website. He is the author of The Globalization of Poverty and The New World Order (2003) and America’s “War on Terrorism”(2005). His most recent book is entitled Towards a World War III Scenario: The Dangers of Nuclear War (2011). He is also a contributor to the Encyclopaedia Britannica. His writings have been published in more than twenty languages.
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Sur le même sujet :
Sur l'Iran :

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16 septembre 2012 7 16 /09 /septembre /2012 14:01

 

Je serai indisponible quelques jours

note d'eva

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En bref: La télévision iranienne et plusieurs autres réseaux de télévision seraient hors fonction depuis les dernières minutes

 

J’attends les confirmations de mon côté…

Il n’y a pas encore de publications dans les réseaux de nouvelles internationales concernant cette situation, mais ce sont des bloggers qui rapportent que le satellite Galaxie 19 n’enverrait plus de signaux en Iran.  Galaxie 19 serait lié à Aljezzera, Russia Today et nombreux autres réseaux télévisés.

Source: Conscience du peuple

En bref: La télévision iranienne et plusieurs autres réseaux de télévision seraient hors fonction depuis les dernières minutes

 

 

 

Dimanche 16 septembre 2012

http://dailynuts-news.over-blog.com/article-un-second-porte-avion-us-dans-le-detroit-d-ormuz-pour-une-guerre-qui-se-rapproche-97024300.html 

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* Déplacer autant de colosses et de soldats ne se fait certainement pas dans une seule et unique visée préventive.  Je rappelle que plusieurs informations, venant d'experts de géopolitique, et de la bouche d'Israël, convergent vers une fenêtre d'attaque se situant

entre le 15 septembre et le 15 octobre...

Une armada navale se trouve actuellement dans le Golfe Persique,
laissant envisager qu'une attaque d'Israël est imminente.

Cuirassés, porte-avions, sous-marins et des dragueurs de mines de 25 pays convergent vers le détroit stratégique d'Ormuz.  Les dirigeants occidentaux sont convaincus que l'Iran ripostera à toute attaque et qu'elle bloquera la voie de navigation (détroit d'Ormuz) à travers laquelle passe environ 18 millions de barils de pétrole par jours, soit environ 35% du pétrole mondial échangé par voie maritime.

Un blocus aurait un effet catastrophique sur les économies fragiles de la Grande-Bretagne, l'Europe, les États-Unis et le Japon, qui tous dépendent fortement des approvisionnements pétroliers et gaziers dans le Golfe.

Le détroit d'Ormuz est à seulement 21 miles de large à son point le plus étroit et est bordé par la côte iranienne au nord et les Émirats arabes unis au sud.

En préparation préventive face à des représailles de l'Iran,
des navires de guerre de plus de 25 pays, dont les États-Unis,
la Grande-Bretagne, la France, l'Arabie Saoudite
et les Émirats arabes unis, vont entamer aujourd'hui
des exercices qui doivent durer 12 jours.

Source:

Conscience du peuple
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Le mot d'eva R-sistons
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Et la France du sayanim Hollande
(poursuivant la politique du sayanim Sarkozy
intégrant notre pays dans l'OTAN
avec ses guerres impériales et impérialistes)
sera au premier rang de cette attaque monstrueuse, illégale,
d'un pays n'ayant jamais attaqué personne §
pour lui piquer son pétrole,
mettre à sa tête une marionnette,
et l'utiliser ensuite contre la Russie,
nouvelle future proie.
Nous sommes à l'opposé
de la France de de Gaulle,
et même de la France du tandem
Chirac-de Villepin
faisant l'admiration du monde entier.
Nous serons aux premières loges
de cette guerre et de la guerre mondiale.
Avec nos centrales nucléaires !!!!
Notre pays est devenu fou...
Eva R-sistons
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§

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Lyndon LaRouche : Apprenons enfin les leçons de la Libye
15 septembre 2012 - 16:04
 

15 septembre 2012 (Nouvelle Solidarité) — Suite aux attentats qui ont frappé les ambassades américaines à Benghazi, en Egypte et au Yémen, marquant la date anniversaire du 11 septembre, l’économiste démocrate Lyndon LaRouche et ses partisans aux Etats-Unis ont immédiatement réagi en distribuant ce texte sous forme de tract.

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Au lendemain de la mort tragique de l’ambassadeur américain Stevens en Libye, le Congrès des Etats-Unis et nos dirigeants politiques devraient enfin apprendre la leçon. La mise en œuvre en Libye, par Barack Obama, de la politique de changement de régime dictée par l’Empire britannique, au nom d’une intervention « humanitaire », est la cause directe de ce désastre. Et si l’on accepte qu’en dépit des résistances, il poursuive la même politique en Syrie, il conduira le monde vers une troisième guerre mondiale, pouvant être thermonucléaire cette fois-ci.


A l’époque, j’avais averti le Congrès de ne pas laisser le Président lancer cette guerre illégale et agressive pour chasser Kadhafi du pouvoir. Mais le Sénat, mené par le pusillanime sénateur Kerry, refusa de défendre la Constitution. Le résultat fut cette alliance contre nature avec des opérateurs d’Al-Qaeda et autres djihadistes à la solde de Londres, qui ont depuis été déployés comme une force de guerre permanente, notamment contre les Etats-Unis.

Au moment de la [guerre contre la] Libye, les militaires américains savaient pertinemment, comme les gouvernements russes et chinois, que chasser Kadhafi conduirait à provoquer le chaos et à propulser les djihadistes sur le devant de la scène. L’ancien secrétaire à la Défense, Robert Gates, et le sénateur James Webb (démocrate de Virginie) avaient prévenu contre toute alliance avec l’opposition armée, et des rapports crédibles sur la présence de leaders d’Al-Qaeda parmi les « libérateurs » ont été rendus publics. Mais Obama et la faction britannique opposée à la souveraineté nationale étaient déterminés à pousser les feux, avec le résultat que l’on sait.


En effet, comme l’indiquent les registres de la Maison Blanche, Obama ne se préoccupait aucunement des conséquences de son jeu libyen, n’ayant même pas participé, avant cette attaque, aux briefings de renseignements hebdomadaires.


Aussi tragiques que soient ces événements, le fiasco potentiel de la politique syrienne de l’administration Obama l’est bien davantage encore. En dépit de l’opposition des responsables militaires américains, l’administration s’est, une fois de plus, embarquée dans une tentative de changement de régime, apportant son appui aux groupes armées djihadistes et d’Al-Qaeda qui se livrent à des attentats, tortures et exécutions sommaires, pour parvenir à ses fins. En Syrie actuellement, les principales victimes sont des militaires syriens et les minorités chiites et chrétiennes, non les Américains.

Toutefois, si la politique d’Obama en vue d’un changement de régime se poursuit, ce sont les Américains – et le monde entier – qui en seront les victimes, au fur et à mesure que le monde évolue inexorablement vers un affrontement avec la Russie et la Chine pouvant aboutir, si on ne l’arrête pas, à une troisième guerre mondiale.


Immédiatement après la boucherie commise contre Kadhafi – un acte délibérément conçu par Obama et ses acolytes en Angleterre et en France – j’ai averti que cet acte constituait « une menace mortelle contre la paix dans le monde ». Il était évident que l’intention d’Obama et de ses contrôleurs au sein de la Monarchie britannique était de provoquer « une réaction en chaîne d’entrées en guerre », pouvant s’intensifier dramatiquement et échapper à tout contrôle.

En mars dernier, un congressiste courageux, Walter Jones (R-NC), a tenté de mettre un terme à ce processus en introduisant la résolution HCR 107, qui réaffirme la seule responsabilité et autorité incombant au Congrès de déclarer la guerre, et déclare passible de destitution toute violation de cette prérogative accordée au Congrès par la Constitution. Seuls dix membres du Congrès ont jusqu’à présent apporté leur soutien à cette résolution, qui réaffirme le pouvoir du Congrès. C’est pourquoi nous restons dans une zone de grand danger.

(..)

http://www.solidariteetprogres.org/Lyndon-LaRouche-Apprenons-enfin-les-lecons-de-la-Libye_09076


À lire ou voir aussi...

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ALEP (Syrie) : Le secrétaire général de l’ASL tué en compagnie d’officiers turs.

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Coup dur pour Erdogan, le lâche et menteur. C'est la bérézina pour les ennemis de la Syrie. De plus en plus impliqués militairement, la réponse de l'armée syrienne a été fulgurant dans la nuit de vendredi à samedi. Le secrétaire général du Conseil militaire de l’ASL (Armée Syrienne Libre), Amar Al-Vavi, et plusieurs officiers turcs [...]

Lire la suite

 

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choc des civilisations

http://www.mecanopolis.org/?attachment_id=20596

Vendredi 14 septembre 2012

Film américano-israélien insultant : Ils veulent une guerre des civilisations

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Jeudi 13 septembre 2012

http://www.alterinfo.net/photo/art/default/4716333-7045238.jpg

ahmadinejad-alterinfo-4716333-7045238.jpg

 

 

 

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Lundi 10 septembre 2012

 

Lu dans Libération : la croisade anti-Bachar d’Erdogan a conduit la Turquie dans une impasse

Par Louis Denghien,


 

Comme la majorité de ses compatriotes, le n°1 du premier parti d’opposition turc ne veut pas que son pays devienne la base militaire principale de l’ASL

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Lundi 10 septembre 2012

 

 

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Dimanche 9 septembre 2012

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7 septembre 2012 5 07 /09 /septembre /2012 02:41

 

Jeudi 6 septembre 2012

Bonne rentrée à toutes guerres du monde !

 

israel_2312197b.jpgSelon un expert du Moyen-Orient, Israël pourrait attaquer entre le 15 septembre et le 15 octobre et ses sources auraient ajouté que le pays pourrait utiliser une arme secrète


Selon l'expert du Moyen-Orient Mike Evans, qui dit avoir eu des discussions avec de hauts responsables israéliens cette semaine, il y a de fortes probabilités que des attaques soient menées sur l'Iran entre le 15 septembre et le 15 octobre. 

Evans estime à 75 pour cent que les attaques seront effectuées dans cette fenêtre de 30 jours.  Evans ajoute que des hauts dirigeants israéliens auraient dit détenir une arme secrète qu'ils ont l'intention de déployer, mais sans nommer de quoi il s'agit.  L'expert du Moyen-Orient croit qu'il pourrait s'agir d'une arme à impulsion électromagnétique (EMP), ce qui viendrait endommager sérieusement le réseau électrique de l'Iran.

Evans dit ne pas être surpris de constater que l'administration Obama refuse de cautionner toute attaque d'Israël sur l'Iran.  Il rapporte également que le directeur de la CIA, David Petraeus, et d'autres responsables américains font fortement pression sur les dirigeants israéliens pour se tenir à distance de toutes attaques avant les élections américaines.

Source:
Source française: conscience du peuple

Israël: Netanyahu annule une réunion du cabinet après des "fuites" sur l'Iran

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annulé une réunion du cabinet de sécurité prévue mercredi à la suite de "fuites" dans la presse sur des dissensions censées rester secrètes à propos de l'Iran, a annoncé un communiqué de son bureau.  

 

"Peu après la fin de la réunion de mardi, une chose très grave s'est produite: une fuite sur les discussions du cabinet de sécurité.  La sécurité de l'Etat et des citoyens dépendent de la capacité de mener des discussions confidentielles en profondeur au sein du cabinet de sécurité où tous les faits sont présentés, ainsi que toutes les opinions et implications", selon le communiqué.

 

Au cours de la réunion de mardi, les chefs des agences de renseignement israéliennes ont présenté leur rapport annuel, concernant en particulier le programme nucléaire controversé de l'Iran.

 

"Quelqu'un a gravement porté atteinte à la confiance que les citoyens israéliens accordent à ce forum (...). Il a également porté atteinte à la réputation de ceux qui étaient présents à cette réunion qui ne se sont pas livrés à des fuites", accuse le communiqué.

 

La colère de M. Netanyahu s'est exprimée après des fuites sur cette réunion dans le quotidien Yediot Aharonot, qui titrait mercredi: "Désaccords sur l'Iran entre les services de sécurité".

 

"Je ne me plains pas des médias: ils font leur travail (...) je suis responsable vis-vis à des citoyens israéliens et de la sécurité de l'Etat et j'ajourne cette réunion", a affirmé le Premier ministre.

 

Selon le journal, l'une des divergences entre les services porte sur l'étendue des dommages que pourrait infliger Israël en cas d'attaque contre les installations nucléaires iraniennes, soupçonnées malgré les dénégations de Téhéran de dissimuler un volet militaire.

 

"Nous avons entendu des informations détaillées et très inquiétantes sur les progrès du programme nucléaire iranien. Les Iraniens sont lancés dans la course à la bombe et il semble que rien ne puisse les arrêter", a affirmé une source non identifiée "qui a participé à la réunion", selon le quotidien.

 

Les ministres se sont également vu présenter une liste de nouvelles sanctions "paralysantes" contre Téhéran, telles qu'un embargo commercial ou l'interdiction de tous les vols vers l'Iran, a poursuivi le Yediot Aharonot.

 

Lors d'une cérémonie militaire, le ministre israélien de la Défense, Ehud Barak, a cependant répété mercredi qu'Israël avait les capacités d'agir n'importe quand et à n'importe où, une allusion à l'Iran.

 

L'armée "se tient forte, organisée et prête à agir pour assurer la sécurité d'Iraël dans n'importe quel intervalle de temps et à n'importe quelle distance géographique", a déclaré M. Barak à Haïfa.

 

Plus tôt mercredi, le président israélien Shimon Peres avait déclaré "ne pas pouvoir imaginer que les Etats-Unis et l'Europe permettent que le Moyen-Orient tombe aux mains de l'Iran", selon un communiqué de son bureau.

 

Il règne en Israël un climat de fébrilité et de rumeurs, alimenté par d'incessantes déclarations de responsables politiques et d'analystes, sur l'éventualité d'une prochaine opération militaire israélienne contre l'Iran, avec ou sans l'assistance des Etats-Unis.

 

Dans ce contexte, l'armée de l'air israélienne a déployé mercredi une batterie de missiles antimissiles Iron Dome (Dôme de fer) dans la région de Tel-Aviv dans le cadre d'un exercice d'entraînement, selon une porte-parole militaire.

 

Source:http://www.leparisien.fr/flash-actualite-monde/israel-netanyahu-annule-une-reunion-du-cabinet-apres-des-fuites-sur-l-iran-05-09-2012-2151586.php

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12 août 2012 7 12 /08 /août /2012 18:20

 

Jérusalem. Copyright Reuters

 

À La Une

Israël pourrait frapper l’Iran
avant novembre

 

11/08/2012
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Nucléaire Une possible attaque militaire de l’État hébreu contre les infrastructures nucléaires de l’Iran faisait à nouveau les gros titres de la presse israélienne hier, au lendemain de déclarations du ministre de la Défense Ehud Barak qualifiant cette éventualité d’« urgente ».


Le quotidien à gros tirage Yediot Aharonot titrait ainsi « Netanyahu et Barak déterminés à attaquer l’Iran à l’automne ». Selon Nahum Barnea et Shimon Shiffer, deux plumes historiques du journal, si le Premier ministre Benjamin Netanyahu et M. Barak pouvaient décider seuls, ils lanceraient une attaque « au début de l’automne, même avant les élections américaines » prévues en novembre. « Le fait que ces deux personnalités (...) sont déterminées à prendre cette décision est très important », écrivent-ils. « Il n’en reste pas moins qu’aucun responsable, ni de l’armée ni dans les milieux de la Défense, pas même le président, ne soutient l’idée d’une attaque israélienne », soulignent-ils toutefois. Le quotidien Haaretz ouvre quant à lui son édition du week-end par les mises en garde d’un responsable qui estime, sous le couvert de l’anonymat, qu’Israël est encore plus en danger qu’à la veille de la guerre de 1967. Le Maariv fait sa une sur un sondage révélant que 37 % des Israéliens pensent qu’un Iran nucléaire pourrait conduire à un « deuxième Holocauste ». En outre, 41 % des Israéliens pensent que les seules pressions diplomatiques ne pourront pas faire renoncer les Iraniens à se doter de l’arme nucléaire.

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Ban « prévenu »


M. Netanyahu a déjà prévenu que des armes de destruction massive aux mains des « ayatollahs iraniens » pourrait mener à « un autre génocide », tandis que le président Shimon Peres a estimé que son homologue iranien Mahmoud Ahmadinejad « menaçait d’une nouvelle Shoah », le mot hébreu signifiant holocauste. Israël, seule puissance nucléaire – officieuse – de la région, estime que son existence serait menacée si Téhéran disposait de la bombe atomique. Les États-Unis, à l’approche de la présidentielle, privilégient le renforcement des sanctions contre Téhéran et de récentes visites de responsables américains dans l’État hébreu laisse penser que Washington tente de dissuader Israël de lancer une attaque. Hier, M. Netanyahu a demandé au secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, de ne pas se rendre en Iran pour le sommet des pays non alignés prévu à la fin du mois, estimant que cette visite serait « une grosse erreur ». Lors d’un entretien téléphonique avec M. Ban, « le Premier ministre (...) a dit qu’il ne voyait aucune raison à sa visite dans un pays où les dirigeants sont antisémites et ont pour objectif de détruire Israël », selon un communiqué du bureau de M. Netanyahu. « Même si cela n’est pas votre intention, votre visite en Iran donnera de la légitimité à un régime qui constitue la plus grande menace pour la paix et la sécurité dans le monde », a encore estimé M. Netanyahu. L’agence IRNA a rapporté dimanche que M. Ban avait accepté une invitation à se rendre au sommet du Mouvement des non-alignés, organisé les 30 et 31 août à Téhéran. L’ONU n’a ni confirmé ni démenti cette information.

Défense antimissiles


Par ailleurs, des experts militaires ont indiqué que la livraison d’un système de défense antimissile amélioré à l’armée israélienne vise à répondre à de nouvelles menaces posées par l’Iran et la Syrie. Ce système Arrow II (Flèche ou encore Hetz en hébreu) est conçu aujourd’hui spécifiquement pour neutraliser les missiles balistiques iraniens et syriens. Considéré comme l’un des systèmes antibalistiques les plus perfectionnés au monde, il avait été initialement développé pour faire face à la menace de missiles venus de Syrie, d’Arabie saoudite et d’Irak. Mais avec la montée des tensions autour du programme nucléaire iranien et la guerre civile en cours en Syrie, ses objectifs se sont déplacés. Le nouveau dispositif intègre une nouvelle génération de radars et de technologies qui seront synchronisés aux systèmes américains stationnés dans la région. Pour des observateurs, l’annonce d’une amélioration des capacités du système antimissile s’apparente à une nouvelle étape dans la course technologique engagée par l’État hébreu et l’Iran dans la région. Mais cette analyse est contestée par d’autres experts israéliens.
     (Source : agences)

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La France se prépare à une évacuation de ses ressortissants en Israël

12 août 2012 Posté par benji sous Géopolitique

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Avec l’affaire Mohammed Merah, Israël voulait voir rappliquer tous les juifs de France, avec l’imminent conflit iranien, la France se prépare à évacuer 200 000 ressortissants français vivant en Israël, c’est une partie de yoyo qui s’est enclenché, reste à savoir qui tiens la ficelle… ;)

Jérusalem. Copyright Reuters
Jérusalem. Copyright Reuters
Selon des sources diplomatiques, un plan d’évacuation des 200.000 Français vivant en Israël a été mis au point dans le contexte de menaces croissantes de conflit avec l’Iran.

Un plan d’évacuation des 200.000 Français vivant en Israël a été mis au point pour faire face à la montée des périls. Objectif : ne pas être pris au dépourvu au cas où un déluge de missiles équipés d’armes conventionnelles ou non-conventionnelles tirés par l’Iran ou le Hezbollah libanais s’abatteraient sur le territoire israélien. Parmi les scénario de sauvetage envisagé par les diplomates figure un départ des ressortissants français à bord de petites embarcations rejoignant ensuite des navires de guerre français croisant au large du port de Jaffa, près de Tel Aviv. Pour compléter le dispositif, plusieurs dizaines de Français ont été désignés pour servir de coordinateurs afin de relayer les consignes pour l’organisation de l’évacuation, les lieux de rassemblements et les procédures à suivre ainsi que les coordonnées des personnes à contacter.

Responsables chargés d’une zone


Ces responsables, sous la responsabilité d’une « cellule de crise » à l’ambassade de Tel Aviv, seront chargés d’une zone particulière déterminée en fonction du nombre de francophones. Parmi les localités prioritaires figurent Jérusalem, Tel Aviv, le port d’Ashdod dans le sud du pays et Netanya une station balnéaire située au nord de Tel Aviv très appréciée des Français. Histoire de dédramatiser, les diplomates français affirment que l’ensemble de ces préparatifs n’ont rien d’exceptionnel et s’intègre dans des programmes de sauvetage de Français à l’étranger « régulièrement mis à jour ».

 

Menaces de guerre


Seule certitude en tout cas : ces mesures de précautions ont été prises à la suite des menaces de guerre. Benjamin Netanyahu, le Premier ministre israélien et son ministre de la Défense Ehud Barak ne cessent d’agiter la menace d’une attaque contre les installations nucléaires de l’Iran accusé de chercher à détruire l’Etat hébreu. Si ce scénario devait devenir réalité, il ne fait aucun doute que l’Iran doté de missiles à longue portée, contre-attaquerait. La milice chiite libanaise du Hezbollah, armée en grande partie par l’Iran, pourrait également participer à des représailles en tirant des milliers de roquettes et de missiles sur la Galilée dans le nord d’Israël. Les experts du ministère de la Défense ont évalué à «200 à 300 » le nombre de morts parmi les civils que de telles attaques de missiles pourraient provoquer. En 1991, lors de la première du Golfe, l’Irak de Saddam Hussein avait tiré 39 missiles Scud notamment vers Tel Aviv où sont installés le ministère de la Défense et le siège de l’état major de l’armée. Ces attaques, qui avaient contraint les Israéliens à se calfeutrer chez eux ou à se réfugier dans des abris, avaient provoqué d’importants dégâts, une paralysie partielle de l’activité économique pendant plusieurs semaines, mais sans faire faire de victimes directes.

 

Source: latribune.fr

 

http://lesmoutonsenrages.fr/2012/08/12/la-france-se-prepare-a-une-evacuation-de-ses-ressortissants-en-israel/

Si ce sont des « Français » comme Sarko, Hollande Attali BHL et Valls, on comprend qu’il faille les sortir du merdier qu’ils ont fabriqué. Et les autres là ? Ceux qu’ils ont déplacé des balkans ? Ils ont le droit de crever ?

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4 août 2012 6 04 /08 /août /2012 18:59

 

Monde_Fracture_Nord_Sud.jpg

http://www.intellego.fr/soutien-scolaire-terminale-es/aide-scolaire-geographie/les-contrastes-de-l-espace-mondial---terminale-es/13627

 

 

Fracture Nord-Sud toujours d'actualité.

2 blocs antagonistes.

Occident terroriste.

Axe Paris-Tel-Aviv-Washington-Londres

De la guerre froide à la guerre chaude ?

Vers une conflagration planétaire ?

Par eva R-sistons


 

En attendant de faire le post promis sur la situation géopolitique mondiale, voici  quelques pistes §. Comme vous le savez, la géopolitique est le domaine qui m'intéresse le plus. Et dans la géopolitique, il y a justement la notion d'abord d'équilibres stratégiques internationaux, ensuite de luttes d'influences, ce qui rejoint directement ce sujet.

 

La France, de manière insensée, a choisi depuis Sarkozy (agent de la CIA et du CRIF) et maintenant avec le rusé Fabius (lui aussi aux ordres de Tel-Aviv et donc de Washington), de rentrer vraiment dans l'OTAN et de s'aligner complètement sur les positions des Etats-Unis et d'Israël avec le risque pour notre pays - truffé de centrales nucléaires -, après avoir abandonné la politique pro-arabe du Gl de Gaulle, de se laisser entraîner dans toutes les guerres impériales, impérialistes, criminelles, terroristes, du duo infernal Etats-Unis-Israël (ou plutôt du trio infernal car il ne faut pas oublier la GB de toutes les guerres, depuis des siècles, et c'est à sa City que se décrètent les conflits  mondiaux barbares de dépopulation assortis d'enrichissement pour quelques-uns).

 

François Hollande avait promis le changement, le sieur Fabius (vous savez, l'homme du sang contaminé et de la candidature, aux Primaires 2007 du PS, sous la bannière la plus à gauche, alors qu'il est un ultra-libéral) nous vaut, en politique étrangère, la continuité la plus lourde de menaces. Tant que nous n'aurons pas accepté de voir que notre pays n'est plus libre mais, dès Sarkozy, dirigé depuis Tel-Aviv (via le CRIF qui donne ses ordres directement, et qui par ex avait imposé le très néo-conservateur B.Kouchner au Quai d'Orsay), nous ne comprendrons rien au mal qui ronge la France, nous ne comprendrons pas, par ex, pourquoi notre pays est désormais Lanterne rouge en matière d'Information et victime d'une impitoyable Police de la Pensée ou d'un dénigrement systématique des dissidents §§2, ou encore pourquoi nous devons subir des politiques aussi brutales et nous engager dans des guerres (via l'OTAN le bras armé des Etats-Unis et de ses multinationales) qui ne sont pas les nôtres, atrocement néo-coloniales et illégitimes, illégales, terroristes tout en se prétendant "humanitaires", "pour la démocratie", comme en Libye et maintenant contre la Syrie ou au Mali. La France n'a pas pour vocation de s'ingérer dans les affaires intérieures des Etats souverains. 

 

C'est  parce que notre pays n'est plus libre mais colonisé par les agents de Tel-Aviv et de son clone américain, qu'il a pris la tête des croisades militaires actuelles, préfigurant le futur choc de civilisations et menant directement le monde vers une confrontation mondiale nucléaire dépassant en horreur tout ce qu'on peut imaginer. Nos dirigeants ou des individus comme le va-t-en guerre BHL, sont des irresponsables, des apprentis-sorciers jouant avec le feu, et il faudrait les mettre hors d'état de nous nuire et de menacer la planète entière avant que la mèche fatale ne soit allumée : Par ex en recourant à des  tribunaux indépendants poursuivant les malfaiteurs de l'humanité où qu'ils soient, comme Sarkozy réfugié, justement, au Canada. 

 

Or donc, pour résumer le post (très complexe) que je n'ai toujours pas eu le temps de vous faire sur les changements géopolitiques majeurs de ces derniers mois,  je dirais donc que deux grands blocs (en gros Nord-Sud) sont en train de se reconstituer entre d'une part Tel-Aviv-Washington-Londres-Paris (bizarrement unis contrairement aux traditions de la France gaullienne et grâce aux Sayanims prospérant dans notre pays, pour son malheur et la perte de sa souveraineté comme de ses traditions) et les alliés canadiens ou européens,  et  d'autre part ceux qui veulent garder leur indépendance et refuser la dictature du Nouvel Ordre Mondial, l'esclavage de la spirale de l'endettement ou des guerres permanentes (pour ne citer que ces exemples): Russie, Chine, Syrie, Iran, Vénézuela, Cuba, etc,  Etats toujours diabolisés par les Médias aux ordres. La guerre froide URSS-Etats-Unis s'est muée en une confrontation d'un type nouveau.

 

La Libye, quant à elle, a payé un abominable tribut : Dépecée, ruinée, pillée, en proie à la guerre civile, à la torture, aux divisions tribales, aux meurtres de masse (d'ailleurs racistes car les Noirs sont les premières victimes)... sans parler du remplacement du socialisme vert (avec un niveau de vie des habitants rarement égalé car les ressources du pétrole profitaient à TOUS les habitants et même aux réfugiés africains) par le capitalisme le plus brutal, le plus inique, assorti de la certitude, à terme, d'un endettement assassin se substituant à la sécurité de réserves d'or uniques au monde.

 

Pour résumer, une partie de la planète (outre les pays cités plus haut, il y a l'Inde, l'Afrique du Sud, le Brésil, l'Argentine, etc) tente de se soustraire à l'emprise usraélienne (liberticide, mortifère, brutale, sanguinaire, et plus généralement au risque de Nouvel Ordre Mondial) en se regroupant, en changeant certaines règles, en se préparant à des alliances monétaires et militaires (que je n'aborderai pas dans ce post). Le monde est en train de se reconfigurer, au grand dam de l'Empire terroriste § 3 qui voudrait imposer ses lois abjectes à l'ensemble de la planète, et qui pour masquer et exorciser son effondrement économique, se jette dans une fuite en avant guerrière qui menace l'univers entier, les générations futures et même la vie sur terre.

 

En fait, à la guerre froide d'antan va bientôt se substituer une guerre très chaude entre deux blocs de plus en plus antagonistes. Resterons-nous simples spectateurs de la boucherie à venir ? Ou ferons-nous tout pour l'éviter ?

 

Eva R-sistons

 

http://r-sistons.over-blog.com

 

§ Vous pouvez aussi voir mon introduction à la géo-politique, pays alignés et non alignés, ici (VIDEO)

§ 2 Comment on salit un dissident pour minimiser l'impact de ses prises de position

 

§ 3 : Le terrorisme de l'Occident monstre nazi allié aux Salafistes: Semer le chaos

Renversement doctrinal des Occidentaux face au terrorisme - soutenu désormais

 


 

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TROISIÈME GUERRE MONDIALE

C’est pour bientôt

La France et le Canada avalés par la folie guerrière des États-Unis et d’Israël ?
http://www.vigile.net/+-Le-Hir-Richard-+

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Richard LE HIR
Tribune libre de Vigile 
vendredi 3 août 2012   

 

À la toute fin du mois de novembre, la détérioration rapide et alarmante de la situation politique en Europe et au Moyen-Orient m’avait amené à soulever la possibilité, ici même sur Vigile, du déclenchement d’une Troisième Guerre Mondiale .

J’avais en effet été sidéré de découvrir, sur un site américain d’information financière, l’extrait d’un bulletin de nouvelles chinois où un responsable militaire de haut niveauavertissait les États-Unis, le Canada et la France, que son pays n’hésiterait pas à protéger l’Iran contre toute agression, même au risque d’une Troisième Guerre Mondiale .
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Cet article avait attiré l’attention d’un journaliste algérien qui communiqua avec moi quelques semaines plus tard pour savoir si je serais disposé à expliciter ma position dans une entrevue qui serait publiée dans son journal en début d’année. Sans me douter le moindrement du traitement qui serait réservé à cette entrevue (manchette en première page), et de la diffusion qu’elle allait connaître , j’acceptai son invitation à répondre à une série de questions qui allaient me permettre d’aborder le cas de la Syrie et de suggérer qu’avec l’alignement des positions russe et chinoise sur la question du Moyen-Orient, nous étions en train d’assister à une réémergence des blocs, comme au temps de la Guerre Froide.

Les événements de l’hiver allaient me donner raison. Au cours des derniers mois, la Chine et la Russie ont exercé à trois reprises leur droit de veto au Conseil de sécurité des Nations Unies pour contrecarrer la volonté des États-Unis de la France et du Royaume-Uni d’intervenir militairement en Syrie pour déloger le gouvernement de Bachir Al-Assad et favoriser un changement de régime.
Et malgré tous les efforts en sous-main pour déstabiliser Assad, celui-ci demeure encore en poste, un exploit qui serait totalement impossible s’il ne jouissait pas du soutien très large de la population syrienne. Ceux qui en doutent feraient bien de se remémorer l’effondrement du régime communiste en ex-Allemagne de l’Est et la chute du mur de Berlin, en quelques jours, sans aucune effusion de sang. Et pour des exemples plus locaux, voir le renversement des régimes Ben-Ali en Tunisie et Moubarak en Égypte, relativement pacifiques.
Après avoir évincé les « contras » de Homs et de Damas, revenues à la paix civile, le régime Assad tente désormais de les déloger de deux quartiers d’Alep, toute proche des frontières de la Turquie qui les alimente en hommes et en armes. Et le spectacle de ces centaines de milliers d’habitants qui fuient les quartiers sous contrôle des contras pour se réfugier dans les quartiers contrôlés par les forces du régime Assad confirme éloquemment la légitimité démocratique de son pouvoir.
Aucun régime ne peut tenir très longtemps contre la volonté de sa population. Et c’est justement l’absence de cette volonté populaire de changement qui nous amène à nous questionner sur les raisons profondes de pays comme les États-Unis, la France, le Royaume-Uni et le Canada à souhaiter si ardemment un changement de régime en Syrie après l’avoir souhaité et obtenu en Libye, et l’avoir souhaité sans l’obtenir en Iran (fiasco de la Révolution Verte).
***
Pour ce qui est des États-Unis, les motivations sont assez claires, même si les intérêts (pas nécessairement les mêmes) et l’influence politique d’Israël viennent un peu brouiller les cartes. Mais c’est quand on se met à s’interroger sur les motivations de pays comme le Royaume-Uni, la France et le Canada que le problème se complexifie.
Le cas du Royaume-Uni est assez facile à régler. Ce pays a depuis longtemps fait le choix de l’alliance géostratégique avec les États-Unis, mais était malgré tout parvenu à conserver une certaine indépendance dans sa politique étrangère au Moyen-Orient sur la base de sa longue expérience politique dans cette région du monde.
Cette situation allait changer dramatiquement après le 11 septembre 2001 et le déclenchement de la guerre contre l’Irak. Le premier ministre travailliste Tony Blair causa une certaine surprise, du moins dans ses propres rangs, en s’alignant sans hésitation et sans faille aux côtés des États-Unis de George W. Bush, alors que la France de Chirac et le Canada de Jean Chrétien refusaient de le faire.
La France était parvenue à maintenir pendant toutes les années depuis le départ de De Gaulle jusqu’à l’arrivée de Sarkozy au moins les apparences d’une certaine indépendance vis à vis des États-Unis et d’un préjugé favorable aux pays musulmans qui s’expliquait, comme dans le cas des Anglais, par sa longue fréquentation de cette culture.
SnapShot_120803_222255-450f8.jpgPays colonial, la France a imposé pendant longtemps sa tutelle sur le Maroc, l’Algérie et la Tunisie. Ceux qui sont moins familiers avec l’histoire de France savent moins que la France de Napoléon s’était aventurée jusqu’en Égypte et que, même si cette aventure fut de courte durée, elle était parvenue à y conserver une importante influence culturelle et commerciale, dans ce dernier cas avec la construction par Ferdinand de Lesseps du Canal de Suez à compter de 1858 et son exploitation de 1868 jusqu’en 1957 par La Compagnie universelle du canal maritime de Suez en vertu d’une concession emphytéotique de 99 ans.
« À la suite de la nationalisation du canal par Nasser en 1956, quand le patrimoine égyptien de la Compagnie universelle du canal maritime de Suez a été transféré à la Suez Canal Authority, la société touche d’importantes indemnités car elle dispose d’une concession jusqu’en 1968. Rebaptisée Compagnie financière de Suez en 1958, elle engage sa reconversion en multipliant participations et investissements dans divers secteurs de l’économie. »
On notera au passage qu’il s’agit de l’entreprise à l’origine de GDF-Suez dans laquelle le duo Paul Desmarais/Albert Frère détient une participation importante.
Il faut aussi rappeler que la France et la Grande-Bretagne s’étaient partagé les dépouilles de l’empire ottoman en 1920, et que la France avait pour sa part hérité de ce qui allait par la suite devenir la Syrie et le Liban. Quant au Royaume-Uni, il récupérait l’Irak, la Transjordanie et la Palestine. Le Liban allait acquérir son indépendance en 1943, la Syrie en 1946, et Israël, découpée dans le territoire de la Palestine par les Nations Unies, en 1948.
La présence de la France sur l’échiquier politique du Moyen-Orient est donc une donnée de base, d’autant plus que d’importants liens commerciaux ont survécu au mouvement de décolonisation après la fin de la Deuxième Guerre Mondiale.
On comprendra dès lors que la France ait joué un rôle actif dans la Crise du canal de Suez qui survient en 1956, lorsque l’Égypte de Gamal Abdel Nasser décide de nationaliser le canal. Wikipédia résume succinctement les faits de la façon suivante :
« La crise du canal de Suez, aussi connue sous le nom de guerre de Suez, campagne de Suez ou opération Kadesh, est une guerre qui éclata en 1956 en territoire égyptien. Le conflit éclata entre l’Égypte et une alliance secrète, le protocole de Sèvres, formée par l’État d’Israël, la France et le Royaume-Uni, suite à la nationalisation du canal de Suez par l’Égypte.
Cette alliance entre deux États européens et Israël répondait à des intérêts communs : les nations européennes avaient des intérêts politiques, économiques et commerciaux dans le canal de Suez, et Israël avait besoin de l’ouverture du canal pour assurer son transport maritime (ce dernier justifiait toutefois son intervention militaire contre l’Égypte comme étant une réponse aux attaques fedayins qu’il subissait de plus en plus régulièrement sur son territoire). De plus cette crise est considérée comme particulièrement importante car elle survient pendant la période de guerre froide. Plus que les intérêts des pays européens, elle symbolise aussi une union encore contestée de l’Union soviétique et des États-Unis (deux blocs en opposition) et constitue donc un moment clef de cette période de conflits. L’union reste contestée car il semble qu’elle aurait aussi pu être interprétée comme une sorte « d’échange de bons procédés » entre les deux puissances. Ce sont ces deux États qui ont imposé l’arrêt du conflit en renvoyant chez elles les forces françaises et britanniques. [...] »
La crise de Suez allait être l’occasion de la première grande intervention du Canada en politique internationale avec sa proposition de créer une force d’interposition entre les belligérants (les Casques Bleus). Voici comment l’Encyclopédie canadienne présente l’affaire :
« Le 26 juillet 1956, le président égyptien Nasser s’empare de l’importante Compagnie du canal de Suez, qui exploite le canal depuis 1869 ; les principaux actionnaires de la compagnie sont la France et l’Angleterre. Cette occupation par Nasser du canal reliant la Méditerranée et la mer Rouge porte un coup à la fierté et au commerce de l’Occident. La diplomatie ayant échoué, l’Angleterre, la France et Israël conviennent en secret d’une action contre l’Égypte. Israël passe à l’attaque le 29 octobre et, en un seul jour, avance à un peu moins de 42 km du canal. Tel que convenu avec Israël, l’Angleterre et la France somment Israël et l’Égypte de se retirer de la région immédiate du canal. Nasser refuse. Le 31 octobre, l’Angleterre et la France interviennent directement en bombardant la zone du canal.
Dans les coulisses, le gouvernement du Canada se montre irrité par ce geste qui divise le Commonwealth et qui aliène les États-Unis. Toutefois, publiquement, le Canada joue le rôle de conciliateur. Le 4 novembre, L.B. Pearson, secrétaire d’État aux Affaires extérieures du Canada, et ses collègues aux Nations Unies obtiennent un appui écrasant de l’Assemblée générale en proposant la création d’une force internationale chargée de maintenir la sécurité et de coordonner la cessation des hostilités. Le général canadien E.L.M. Burns est aussitôt nommé commandant de la Force d’urgence des Nations Unies (FUNU). Les Anglais et les Français décident cependant de passer outre à la résolution de l’ONU et larguent des parachutistes dans la zone du canal tard le 4 novembre. Grâce à la pression, principalement américaine, exercée sur le premier ministre britannique sir Anthony Eden, un cessez-le-feu est conclu le 6 novembre. Pearson se bat avec succès pour que des soldats canadiens fassent partie de la FUNU, dont les unités d’avant-garde arrivent à la mi-novembre. Bien que Pearson reçoive le Prix Nobel de la paix en 1957 en récompense pour ses efforts de conciliation, bien des gens en Angleterre et au Canada sont consternés par le manque apparent de soutien envers l’Angleterre de la part d’Ottawa. La défaite du gouvernement libéral aux élections générales de 1957 est sans doute en partie attribuable à ce facteur. »
En 1956, la France est dirigée par un gouvernement socialiste aux prises avec la décolonisation. Elle a perdu l’Indochine à l’issue d’une guerre en 1954, et cherche encore à conserver l’Algérie. Ces conflits la déchirent sur le plan politique et la laissent exsangue sur le plan financier, conditions qui vont favoriser le retour aux affaires du général Charles De Gaulle, l’homme qui a sauvé la France de la déroute en 1940 et qui s’est retiré « en réserve de la République » en 1946, en désaccord avec l’Assemblée constituante élue pour doter la France d’un nouveau régime politique sur la question des rôles respectifs de l’État et des partis politiques.
De Gaulle, c’est également l’homme qui a tenu tête aux Américains, aux Anglais et aux Russes malgré la précarité de sa position, et qui a permis, par la force incroyable de sa volonté, que la France figure parmi les vainqueurs de la Seconde Guerre Mondiale.
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Pour De Gaulle, tout tenait à « une certaine idée » qu’il se faisait de la France :
« Toute ma vie, je me suis fait une certaine idée de la France. Le sentiment me l’inspire aussi bien que la raison. Ce qu’il y a en moi d’affectif imagine naturellement la France, telle la princesse des contes ou la madone aux fresques des murs, comme vouée à une destinée éminente et exceptionnelle. J’ai d’instinct l’impression que la Providence l’a créée pour des succès achevés ou des malheurs exemplaires. S’il advient que la médiocrité marque, pourtant, ses faits et gestes, j’en éprouve la sensation d’une absurde anomalie, imputable aux fautes des Français, non au génie de la patrie. Mais aussi, le côté positif de mon esprit me convainc que la France n’est réellement elle-même qu’au premier rang : que seules de vastes entreprises sont susceptibles de compenser les ferments de dispersion que son peuple porte en lui-même ; que notre pays tel qu’il est, parmi les autres, tels qu’ils sont, doit, sous peine de danger mortel, viser haut et se tenir droit. Bref, à mon sens, la France ne peut être la France sans grandeur. » (Charles de Gaulle,Mémoires de guerre, tome 1, Plon, Paris, 1954)
Dans les dix années qui suivent son retour aux affaires, De Gaulle va remettre la France sur pied, d’abord sur le plan économique, avec la collaboration de son ministre des Finances Antoine Pinay, et de son principal conseiller Jacques Rueff, Ce dernier croit aux vertus disciplinaires de l’or pour empêcher la fuite en avant par les déficits, sur lesquels les États-Unis commencent à compter pour financer leur guerre au Viet-Nam.
La France est bien placée pour le savoir. Les coffres de la Banque de France débordent des dollars US que les banques françaises encore majoritaires au Vietnam après son indépendance lui envoient sans dérougir. De Gaulle décide d’exiger sa conversion en or au taux officiel de 35 $ l’once » Il envoie aux États-Unis des navires de guerre chargés de dollars, et ceux-ci rentrent en France chargés de l’or obtenu en échange. Les Américains sont furieux.
Et ils le sont encore davantage lorsqu’ils voient De Gaulle se lancer, sur la base du redressement économique de la France et de l’indépendance qu’elle lui confère, dans une offensive diplomatique tous azimuts qui l’amènera à quitter l’OTAN, se doter de l’arme nucléaire et proposer aux pays non alignés une troisième voie dans une série de discours à travers le monde qui vont s’inscrire résolument en faux contre les pratiques hégémonistes américaines.
Ainsi, le 28 septembre 1964, De Gaulle déclare en Bolivie
« Que chaque peuple dispose à tous égards de lui-même, afin que son avance en fait de civilisation soit effectivement la sienne. Qu’il fasse en sorte que son progrès soit celui de tous ses enfants pour susciter dans les profondeurs les ardeurs et les capacités qui multiplient les efforts, qu’il transforme en émulation créatrice et productrice par rapport aux autres nations, ce qui demeure trop souvent rivalité d’ambitions, que les puissances qui en ont le moyen prêtent leur concours au développement des moins avantagés, cela suivant les affinités réciproques, et sans qu’il y ait, sous aucune forme, intervention étrangère dans les affaires de qui que ce soit, voilà, en effet, quelles sont, pour la France, les conditions nécessaires de l’équilibre général, du progrès de tous et de la paix dans l’univers. » (Pochette du disque « Charles De Gaulle, Discours aux peuples du monde », Disques Déesse DDLX 87, Paris)
À Pnom-Penh, le 1er septembre 1966, De Gaulle s’en prend directement à la soif de guerre des États-Unis . Voici le commentaire du professeur et président du parti UPR François Asselineau dans le cadre de la dernière campagne présidentielle française :
« Le 1er Septembre 1966, présent dans la capitale Cambodgienne, le Général de Gaulle prononce devant plus de 200 000 personnes, le « Discours de Phnom-Penh ». Ce discours est un des plus habiles de l’histoire politique de l’humanité. En effet, tout en rappelant l’indépendance de la France, il affirme l’existence d’une troisième voie représentée par les non-alignés. Cependant, le Général de Gaulle est également visionnaire et marque un tournant dans la manière d’envisager les relations Internationales pour les anciennes puissances coloniales. Ces propos ont été ressentis à l’époque comme une gifle et une trahison par les américains alors en guerre au Vietnam. Les Américains outrés, n’ont alors pas compris toute la subtilité et les nuances de ces paroles car il rend aussi un hommage aux valeurs de libertés qui fondent la démocratie américaine. Ils n’ont pas non plus saisi la lucidité de ses propos. En 1968, c’est à Paris que s’ouvrira la conférence qui mettra fin à la guerre du Vietnam (la guerre la plus inutile et la plus chère de l’histoire des Etats-Unis après la guerre d’Irak). Ce qui est impressionnant, c’est qu’après plus de 40 ans, ces paroles résonnent encore d’une manière originale et sont plus que jamais d’actualité concernant par exemple la guerre en Afghanistan. » (Voir aussi)
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L’été suivant, le 24 juillet 1967, De Gaulle, venu rendre visite à son « ami Johnson »http://www.vigile.net/La-visite-du-... à l’occasion de l’Expo 67, lançait son « Vive le Québec libre » depuis le balcon de l’Hôtel de ville de Montréal . À lire ce qui précède, on comprend facilement que cette déclaration était loin d’être spontanée, qu’elle était mûrement réfléchie et qu’elle procédait d’un plan bien défini. On n’est pas général pour rien.
D’ailleurs, cette analyse est confirmée par un de ses intimes, Jacques Foccart, qui relate son échange avec De Gaulle le 27 juillet 1967 dans son Journal de l’Élysée paru chez Fayard en 1998 (t. I, p. 685), au cours duquel lui aurait déclaré ceci :
« Le fait est qu’un jour le Canada français deviendra une grande puissance et que nous y aurons aidé et que la France en tirera un bénéfice. Bien sûr, pas moi. Ce n’est pas pour tout de suite, bien que, du fait de notre attitude, nous ayons considérablement accéléré le processus. C’est une affaire dont l’avenir s’inscrit d’avance, et de manière certaine depuis notre action, et le développement, croyez-moi, sera beaucoup plus rapide qu’on ne le croit. […] Il fallait le faire, c’était évident. Je savais à quoi m’en tenir à partir du moment où j’y allais. Alors on m’a dit : Ottawa… Ottawa, je m’en fous ! C’est au Canada français que je rendais visite, c’était l’essentiel. […] J’aime mieux crever que d’aller au Canada porter un toast à la reine d’Angleterre ! Croyez-moi, j’étais bien soulagé quand ils m’ont offert l’occasion de m’en aller : j’ai sauté dessus avec bonheur. Tout cela va faire des remous, c’est sans importance. Tout cela va donner des motifs d’articles à toute cette presse infâme et avachie, aux pieds et à la botte des Américains, des Israéliens et de tous les autres, mais qui ne soutient pas la France parce qu’ils ont honte de parler de la France ou de défendre la France : tout cela est sans importance. »
13-france-dd770.jpgOn connaît la réaction au Canada. Mais c’en est également trop pour Washington et pour ses alliés en France. Le premier ministre George Pompidou, ancien directeur général de la Banque Rothschild, s’inquiète de plus en plus des projets de De Gaulle. Chez les acteurs économiques, la « troisième voie » passe mal :
« En sus des Américains, De Gaulle avait à dos leurs suiveurs atlantistes, de Mitterrand à Lecanuet, sans compter Jean-Jacques Servan-Schreiber [alors rédacteur en chef de l’hebdomadaire d’informationL’Express et l’auteur du Défi américain, une apologie de l’Amérique] qui, en plein mois de mai, dénonçait « la dictature intellectuelle du Général qui avait tout gelé en France ». Et cela dans un magazine américain : « Life » qui par ailleurs voyait dans l’Elysée un nid d’espions du KGB. Aux USA une campagne de presse antigaulliste d’une violence et d’une bêtise inouïes battait son plein...
Participaient encore à cette curée, le ban et l’arrière ban du vichysme et de l’OAS : « mai » c’était l’occasion de régler son compte à l’homme de la France libre et au décolonisateur de l’Algérie. Sans compter les milieux d’affaire : « De Gaulle a pour opposants les mêmes gens, haute finance et classe moyenne, qui firent tomber le gouvernement Blum dans les années trente en spéculant contre le franc et en plaçant leur argent à l’étranger (écrit Hannah Arendt dans une lettre à Mary Mc Carty fin 68). Le tout non pas en réaction aux émeutes étudiantes, mais aux idées grandioses de De Gaulle sur la participation des travailleurs dans les entreprises »... ».
En fait, quand on examine qui avait intérêt en 1968 à ce que la situation politique se dégrade rapidement en France, celui des Américains et de leurs « suiveurs atlantistes » est tellement évident qu’ils y ont nécessairement contribué s’ils n’en sont pas carrément les instigateurs, ce que les historiens finiront éventuellement par nous révéler.
Après la démission de De Gaulle devant le rejet de son référendum sur la participation le 27 avril 1969 , la France retombe rapidement sous l’influence des États-Unis.
En 1971, l’administration Nixon, enlisée dans l’aventure vietnamienne, et incapable de faire face aux dettes et aux obligations de conversion du pays, décide de dévaluer sa monnaie en supprimant sa convertibilité en or. La banque centrale des États-Unis (la FED) a désormais les mains libres pour monétiser la dette, avec les résultats que nous découvrons aujourd’hui.
La France emprunte le même modèle en 1973 en adoptant sa Loi du 3 janvier 1973 sur la Banque de France. Même modèle, même endettement catastrophique aujourd’hui.
Mais si les Américains sont parvenus à reprendre le contrôle du jeu économique avec l’élimination de De Gaulle, la France n’en conserve pas moins quelques velléités d’indépendance diplomatique à l’égard des États-Unis qui vont lui coûter très cher lorsqu’elle s’aventurera à les exercer, l’expérience la plus probante à cet égard étant survenue lors de son refus très spectaculaire de suivre les États-Unis dans sa guerre contre l’Irak.
On se souviendra de l’indignation que la brillante prestation du ministre français des Affaires étrangères, Dominique de Villepin, devant l’Assemblée générale des Nations Unies le 14 février 2003 , avait soulevé aux États-Unis. La France avait alors dû affronter un boycott de ses intérêts que son patronat avait très mal vécu.
« Comme par hasard », de Villepin s’était retrouvé peu de temps après au coeur d’une affaire politique tordue, l’affaire Clearstream, qui allait prendre rapidement une tournure judiciaire grave, coupant court à ses ambitions présidentielles pour 2007 et laissant la voie libre à Nicolas Sarkozy.
C’est sans doute le même « hasard » qui a valu à Dominique Strauss-Kahn, brillant économiste et directeur général du FMI, quelques mois d’emprisonnement dans une prison de New York pour une pitoyable affaire de moeurs alors que son véritable crime, tout comme le Général De Gaulle en son temps, avait été de remettre en cause l’hégémonie du dollar US .
Et parce qu’Israël et les États-Unis voguent de concert et que l’affront fait à l’un vaut pour l’autre, que penser de l’audace « irresponsable » du président Chirac qui avait accueilli en 2004 sur son territoire le chef historique des Palestiniens, Yasser Arafat, gravement malade, pour qu’il puisse s’y faire soigner, qui s’était même rendu à son chevet pour lui offrir ses voeux de rétablissement, et qui, à son décès, lui avait fait rendre les hommages de la France lors d’une cérémonie officielle à l’aérodrome militaire de Villacoublay avant de le transporter au Caire ?
Heureusement pour lui, Chirac était en fin de mandat et n’était plus en mesure de nuire aux intérêts américains.
SnapShot_120803_220859-8bfcd.jpgOn comprend dès lors beaucoup mieux comment Nicolas Sarkozy, que les Américains contrôlaient entièrement, y compris par des liens familiaux , a pu servir leurs intérêts au point même de leur permettre de se cacher derrière lui (et derrière le Canada de Harper) à certains moments, comme dans l’opération contre la Libye.
Mais Sarkozy parti, ce qui surprend et déçoit sûrement une bonne partie de l’électorat de gauche en France, c’est de voir le président Hollande suivre exactement la même politique étrangère que son prédécesseur et se ranger docilement, sans le moindre bémol, dans le camp des États-Unis et d’Israël au Moyen-Orient.
Le Canada n’a pas une histoire diplomatique aussi riche que celle de la France. Comme je l’ai souligné plus haut, sa première intervention marquante sur la scène internationale fut sa suggestion de créer les casques bleus dans la foulée de la guerre du Canal de Suez en 1956.
Pour le reste, voisin des États-Unis, sa marge de manoeuvre n’est pas très grande, ce qui n’a pas empêché l’ancien premier ministre Libéral, Pierre-Elliott Trudeau, mort en 2000, de multiplier les pieds de nez à leur endroit, en entretenant notamment des liens d’amitié avec Fidel Castro qui s’est d’ailleurs déplacé à Montréal pour ses funérailles .
En 2003, le Canada n’avait pas, lui non plus, suivi les États-Unis dans leur engagement militaire en Irak. Le refus du premier ministre Jean Chrétien, Libéral lui aussi, était lié à des considérations bassement électoralistes. Si, dans son ensemble, l’électorat canadien était également divisé sur l’opportunité de cet engagement, la ventilation des résultats par régions donnait une toute autre image de la situation, les Québécois y étant très majoritairement opposé.
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La question de la participation du Canada à cette guerre était même parvenue à mobiliser à Montréal, en plein hiver, 150 000 personnes qui n’avaient pas hésité àbraver un froid de -26 °C pour faire connaître leur opposition, tant la tradition pacifiste est forte au Québec.
Pour des raisons sur lesquelles les Américains n’ont eu aucune influence, les Libéraux allaient se retrouver à la tête d’un gouvernement minoritaire aux élections générales suivantes en 2004, et par la suite perdre le pouvoir aux mains du Parti Conservateur de Stephen Harper, d’abord appelé à former un gouvernement minoritaire en 2006, puis majoritaire en 2011.
Depuis son élection en 2006, Harper n’a eu de cesse d’aligner les positions canadiennes dans tous les domaines sur celles des États-Unis, au point même de se distinguer parfois par son excès de zèle, notamment sur la question de son soutien à Israël.
18-roberts-71b9a.jpgCette inféodation systématique de la France et du Canada aux intérêts des États-Unis et d’Israël est particulièrement intrigante, survenant à un moment où les États-Unis sont en perte de puissance, tant sur le plan économique que politique, une réalité si forte qu’elle ne peut échapper aux stratèges des deux pays. Cette réalité commanderait de la part de la France et du Canada une stratégie totalement différente, sauf si...
Oui, sauf si les dirigeants de ces deux pays étaient au courant d’une menace si forte et si effrayante qu’elles les privait de toute marge de manoeuvre et qu’elle les contraignait au soutien inconditionnel des États-Unis et d’Israël, et au reniement de tous les principes démocratiques sur lesquels ils sont fondés.
Si tel est le cas, on aimerait bien le savoir... Quelle menace ? Une Troisième Guerre Mondiale ? Car au rythme auquel s’accumulent, s’enchaînent et se succèdent les événements, c’est pour bientôt.

 

 

Vos commentaires:

C’est pour bientôt
3 août 2012, par Jean Lespérance
Peut-être. Tout va dépendre du comportement des pays vis-à- vis de leurs banquiers. Vous savez M. Le Hir que les banquiers forment une confrérie. Puis quand on condamne un des leurs, les autres sentent la soupe chaude. 
Le 31 juillet dernier, donc 2012, même pas une semaine, 
l’Iran a condamné 4 banquiers à mort, d’autres au fouet, aux amendes et à la prison. Ça fait réfléchir les autres. 
Évidemment aux nouvelles cela passe inaperçu, on n’en parle même pas. Un petit oubli... 
La confrérie des 400 voleurs a la trouille. Elle a peur que d’autres pays fassent comme l’Iran et scrutent à la loupe les opérations de ces roitelets. 
Il y a sans doute des iraniens qui lisent et s’informent sur Vigile.net. Ils ont tout compris le manège des banquiers et en vérifiant ils en ont eu toutes les preuves. 
Votre crainte est la même que celle d’Adrian Salbuchi, l’économiste argentin qui a dénoncé le système frauduleux des banquiers car il craignait lui aussi en 2008 que les États-Unis déclenchent une troisième guerre mondiale s’ils perdaient le contrôle du système monétaire. 
Adrian Salbuchi appelait cela : renverser l’échiquier pour se concentrer uniquement sur la guerre. Quand nous sommes en guerre, nous n’avons pas le temps ni l’occasion de transformer le système monétaire, de renverser le contrôle des banquiers. 
Si les américains sont capables de sauver la piastre ou le système des banquiers sans faire la guerre, ça va attendre, si la piastre leur échappe, ce sera la guerre. 
Toucher aux banquiers, c’est comme abîmer le veau d’or, lui enlever des morceaux.
Pour les américains et la haute finance, s’attaquer aux banquiers est plus grave que fabriquer une bombe atomique. On a énormément peur que d’autres pays imitent l’Iran. 
Je peux juste déplorer la mort des banquiers mais non leur disparition, car leur disparition est une bénédiction.
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Voir aussi :
Plan D’Israël Pour La Syrie :
Le Modèle Somalien

Armée syrienne dans Damas nettoyée des terroristes à la solde des US/OTAN/ISRAEL

Vrai, ou intox ?

"L’Iran entre en guerre dans les semaines à venir" (Guide suprême d'Iran)

 

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Des raisons d'espérer ?

 

(..)Des officiers militaires américains en poste ou en retraite, menés par le Chef de l’état-major le général Martin Dempsey, de même que des officiers militaires et des milieux du renseignement israéliens, sont sur le « pied de guerre » pour empêcher Benjamin Netanyahou et son ministre de la Défense Ehud Barak de lancer une attaque israélienne contre l’Iran dans les douze semaines à venir, c’est-à-dire avant l’élection présidentielle américaine de novembre.


Une attaque israélienne sur les installations nucléaires iraniennes, en discussion depuis de nombreux mois déjà, aurait pour effet d’entraîner le monde dans une guerre thermonucléaire.(..)


Le New York Times a publié également un article hier sur le danger immédiat de guerre, citant les propos du correspondant pro-paix Amos Harel, du quotidien israélien Ha’aretz et spécialisé sur les questions de défense, qui estime les probabilités d’une attaque sur l’Iran à 50% d’ici novembre.


Lors d’une réunion à Washington D.C. hier, l’économiste américain Lyndon LaRouche a fait part lui aussi de ses inquiétudes mais également de ses espoirs en raison de la résistance des militaires américains, israéliens, ainsi que des milieux politiques et militaires russes et chinois, à toute dérive vers la guerre, que ce soit à partir d’une attaque israélienne sur l’Iran ou d’une invasion militaire occidentale en Syrie.

 

http://www.solidariteetprogres.org/Danger-de-guerre-et-crise-financiere-inquietudes-et-raisons-d-esperer_08964

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Il n'y aura pas de guerre,

rappel de la position d'Observeur.

 

http://sos-crise.over-blog.com/article-vers-une-3e-guerre-mondiale-opinion-de-larouche-d-observeur-d-eva-r-sistons-88615196.html

 

Qui est-il ?

 

Observeur, ami virtuel depuis au moins deux ans, il m'avait écrit, et nous avons correspondu presque tous les jours jusqu'au 10 décembre - 2 jours plus tard, il était dans le coma. Il nous a quittés, gouailleur et toujours éveillé, lucide, j'adorais son franc-parler, sa pensée incisive, son esprit bougon, son grand coeur - si généreux. Une personne était dans la peine, dans le besoin, il était là :

 

Trankiloo nous a annoncé le décès d’Observeur vendredi
http://liesidotorg.wordpress.com/2011/12/30/le-gouvernement-fait-de-la-resistance/#comments

 

Hommage à un Lecteur-Ami-Blogueur

disparu fin décembre, Observeur :

 

observeur-jeune.jpgobserveur-plus-age.jpg


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Je suis triste de voir cette petite grande âme nous quitter. Il était seul, il n'aimait pas la société que nous construisons par notre apathie ou par notre résignation. Et il ferraillait contre elle, mais toujours dans l'espoir que le pire n'arrivera pas. Les croyants savent que les préférés de Dieu sont les coeurs généreux. Heureux ceux qui ont soif de justice ! Et qui viennent en aide à leur prochain, surtout pauvre. Comme Observeur ! Dieu,il ne voulait pas en entendre parler. Et il l'insultait sans cesse ! Beaucoup trop pour ne pas le chercher à sa manière... De toutes façons, Dieu reconnaîtra les siens. Et celui-là avait du coeur.... Paix à son âme, comme disent les Lecteurs du Liesi qui avaient apprécié ses échanges musclés et généreux !

 

Tu nous manques déjà, cher Observeur !

 

eva R-sistons

 

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1 août 2012 3 01 /08 /août /2012 20:22
Mercredi 1 août 2012

L’Iran entre en guerre dans les semaines à venir

 

ayatollah_ali_khamenei.jpegLe 27 juillet, juste avant les prières du vendredi, le Guide Suprême d’Iran, l’Ayatollah Ali Khamenei a convoqué les chefs militaires du sommet de la hiérarchie en Iran à ce qu’il a appelé « leur dernier Conseil de Guerre ».

 

“Nous entrerons en guerre dans les semaines à venir”, a-t-il dit déclaré d’emblée à l’assemblée, selon ce que dévoilent les sources exclusives du renseignement à Debkafile.


Etaient présents, le Ministre de la défense, le Général Ahmad Vahidi, le conseiller militaire de Khamenei, le Général Yahya Rahim-Safavi, le chef des forces armées, le Général-Major Seyed Hassan Firuzabadi, le Commandant du Corps des Gardiens de la Révolution, le Général Mohammed Ali Jafari et le Chef des Brigades al Qads, le Général Qassem Soleimani. Les Commandants de la force aérienne, de la marine et des forces terrestres étaient là aussi.

  

Chacun des participants était sommé d’exposé le niveau de préparation de sa branche ou de son secteur à répondre aux urgences de sa mission.

 

Alors que le type de représailles envisagées a donné lieu à des exercices exhaustifs lors de manœuvres miliaires régulières tout au long de la dernière année, Khamenei a ordonné le plus important projet de fortifications de l’histoire de l’Iran, pour protéger son programme nucléaire, même contre les armes américaines les plus puissantes. On rassemble des roches d’Afar, qui sont pilées pour les disséminer autour des installations nucléaires majeures, recouvertes de plusieurs tonnes de béton coulé et finalement renforcées avec de l’acier.

 

Le même vendredi, la Force aérienne américaine a dévoilé ses nouveaux missiles anti-bunkers, les Obus Pénétrants massifs (Massive Ordnance Penetrators). Chaque missile pèse plus de 13, 5 kg et est capable de pénétrer plus de 18, 30 m de béton renforcé.

  

Se consacrant ensuite aux représailles prévues, le Conseil de Guerre a approuvé une série de conséquences à toute frappe préventive potentielle, qu’elle soit américaine et/ou israélienne, contre son programme nucléaire. Ils pourraient commencer par annoncer le lancement de l’enrichissement d’uranium à plus de 60% - ce qui est proche du niveau requis pour l’obtention d’armes.

 

Les missiles balistiques Shehab 3, souvent mis à l’épreuve, seraient lancés contre Israël, l’Arabie Saoudite et les installations militaires américaines au Moyen-Orient et dans le Golfe.

 

Le Hezbollah au Liban, le Hamas et le Jihad Islamique à Gaza se tiennent prêts à mettre la main à la poche contre Israël, avec des attaques venus du nord et du sud-ouest.

  

Les terminaux d’exportation de pétrole saoudiens feraient sûrement des cibles idéales pour des explosions en série et des mines seraient disséminées dans le détroit d’Ormuz afin d’empêcher l’exportation d’un cinquième de la production mondiale de pétrole.

 

 Khamenei a mis sur la table de son Conseil de Guerre un calendrier se calculant en semaines, pour le conflit à venir – pas plus loin que septembre ou Octobre.

 

AVERTISSEMENTS: Si la source DEBKA  n'est pas forcément crédible, les mots ont bien été prononcées par le guide suprême d'Iran. Nous ne faisons que passer l'information qui nous semble de premier ordre... Ce qui est plus que certain, c'est que les tensions sont de plus en plus vives, par ailleurs, les USA viennent hier d'adopter de nouvelles sanstions contre le régime iranien.

 

Rédaction WikiStrike

 

http://www.debka.com/article/22229/Khamenei-Warns-Iran%E2%80%99s-Top-Leaders-WAR-IN-WEEKS

 

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Voir aussi :

 

Après la Syrie, la guerre contre l'Iran. Comment réagit Moscou aux menaces

Bouclier antimissile UE. A force de chercher la Russie, l'OTAN la trouvera

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23 juillet 2012 1 23 /07 /juillet /2012 05:03

 

A l'aube d'une troisième guerre mondiale ?
http://regardsurlarealite.centerblog.net/103-a-aube-une-troisieme-guerre-mondiale.
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La 3e guerre mondiale a déjà commencé
par eva R-sistons
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La 3e guerre mondiale a commencé, d'ailleurs depuis plusieurs années. Et pourtant, qui s'en doute ? L'économie américaine est exsangue (seule le complexe militaro-industriel se porte bien) : Comment masquer sa décrépitude ? Comment détourner l'attention de l'Opinion ? Et la dépression a contaminé l'Europe vassale. Dans le même temps, la population croit, la pollution aussi, les ressources s'épuisent, et des puissances émergent.
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L'Empire anglo-saxon moribond est dangereux. L'hégémonie qu'il ne peut maintenir par le business, il va la perpétuer par la guerre. D'ailleurs, un capitalisme aux abois surmonte ses échecs en mettant le feu à la planète. Et c'est radical pour la surpopulation ! Cette fois, il ne s'agira plus de millions mais de milliards de victimes. La route sera libre pour les prédateurs en quête de nouvelles terres, de nouvelles ressources, de nouvelles exploitations.  Et les industriels de la Reconstruction se partageront les dépouilles. La machine économique pourra repartir !
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La crise couve depuis des années. Des pays ont émergé, et puis la Russie a commencé à panser ses plaies et à redresser la tête. L'Empire tremble. Il faut disloquer le puissant allié slave, yougoslave, sur le continent européen.  De surcroît, ce territoire est encore communiste : Deux bonnes raisons pour l'attaquer, puis le morceler, le soustraire à l'allié russe ! Des massacres ethniques sont mis en scène, encore et toujours, l' Opinion gobe tout. Une fois la Yougoslavie divisée, l'Empire peut régner sur la région tout en affaiblissant la Russie. Et dans la foulée, l'OTAN (bras armé de l'Empire) installe dans le Kosovo mafieux désormais indépendant, sa plus grosse base militaire en Europe. 
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OTAN-Crime-Libye.jpg
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Après la Yougoslavie de Tito le communiste, voici l'Irak du laïc Saddam Hussein. Accusation d'"armes de destruction massive" infondées, et que dire du faux témoignage des "couveuses sanglantes" imputées au régime irakien au Koweït ? Elles ont là aussi servi à justifier l'entrée en guerre des Occidentaux. Et l'Irak tombe rapidement, avec en partie la légendaire garde du dictateur qui ne résiste même pas... car elle a été, au préalable, soudoyée par l'argent américain qui achète tout !
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Suivent plusieurs autres guerres géostratégiques (notamment en Afghanistan, maintenant au Soudan, au Mali...), et voici la charge menée contre la Libye par un faux philosophe au service d'Israël, BHL, et par  Sarkozy "l'Américain". Tout est mensonge, mise en scène, propagande, et Celui qui a promu un étonnant "socialisme vert" (logement offert aux familles, eau et électricité gratuites, produits de première nécessité subventionnés..) et qui a fait en 7 ans de la Libye (Etat le plus arriéré du continent, sans dispensaire, sans école..) un pays moderne (notamment pour les femmes), un "pays de cocagne", le plus prospère d'Afrique (pas de dette, importantes réserves d'or, revenu élevé des habitants, pas de chômage, Système de Santé et d'Education performants, emploi de plus de 2 millions d'Africains..), Celui-là, donc, en l'occurrence Kadhafi, est torturé et assassiné au nom de nos grandes démocraties... Et le pays est disloqué, ravagé, ruiné et pillé par les multinationales occidentales, et puis les réserves d'or sont partagées entre les envahisseurs anglais, américains, israéliens, français, alors que le Système capitaliste financier est imposé au pays, avec ses exigences, ses rackets, ses taux usuriers, ses dettes, ses pillages, ses privatisations... Et tandis que les partisans du Colonel Kadhafi (qui avait réussi à débarrasser la Libye de ses potentats corrompus sans verser le moindre sang) sont impitoyablement traqués jusque chez eux, torturés, liquidés, tandis que le "socialisme vert" est aboli, tandis que le pays jusqu'alors uni derrière son dirigeant laïc est désormais en proie aux luttes claniques, ethniques... une fausse démocratie s'installe avec des élections bidons (faible taux de participation, aucun représentant de l'ancien Régime, victoire des "Libéraux" à la solde de l'Etranger) et des marionnettes islamistes de l'Occident dont le premier acte est d'ailleurs d'instaurer la Charia ! Qu'importe, les Médias claironnent partout que la démocratie a triomphé, et que cette démocratie-là sera bientôt instaurée en Syrie. Et dans cette nouvelle "démocratie" dessinée par les BHL, les Netanayahu, les Obama-Cameron, les Sarkozy-Fabius, prospèrent désormais les Islamistes les plus radicaux qui vont faire du pays une rampe de lancement des attaques contre l'Etat laïc syrien soutenu par les Chrétiens !
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Et maintenant, c'est au tour de la Syrie d'être attaquée par la Coalition impériale de l'Occident, dotée d'une caution "arabe" avec les laquais du Qatar et d'Arabie Saoudite et tous les Islamistes fanatiques adversaires des Régimes laïcs.
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Grâce à la Russie de Poutine plaidant contre l'ingérence dans les affaires intéreures des nations, et pour un monde multilatéral et de paix, grâce aussi à son allié chinois, les résolutions de ce faux organisme de Paix qu'est l'ONU sont bloquées, mais la guerre est menée de l'intérieur par un Occident qui arme, forme, soutient les Islamistes radicaux  opposés aux laïcs et aux Chrétiens du Régime syrien. Et les mêmes recettes sont employées : Faux massacres attribués aux soldats de Bachar-el-Assad (en réalité tournés dans les studios du Qatar, ou utilisation d'anciennes images de la guerre d'Irak, ou atrocités commises par l'Armée Syrienne dite "libre"), faux Observateurs des Droits de l'Homme, propagande de guerre, média-mensonges... la panoplie habituelle !
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Après avoir promis "Le changement, c'est maintenant", François Hollande, via son Ministre des Affaires Etrangères Laurent Fabius au service des intérêts d'Israël, poursuit la politique de son prédécesseur, et la France continue sa sale croisade contre un Etat souverain soutenu par 80 % de sa population ! Pouvons-nous nous prévaloir de tels pourcentages en France ??? En tous cas, on se doute de la suite qui ressemblera étrangement à la situation  qui prévaut en Irak, en Libye... pays désormais soumis aux "démocrates irréprochables" de l'Occident !
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Après la Syrie, on conditionne déjà l'Opinion à la guerre contre l'Iran. Tandis que nous sommes amenés à verser des larmes, encore et toujours, sur les sempiternels malheurs de la Communauté juive (encore ce 21 août avec un reportage sur les rafles du Vel d'Hiv), sans aucune preuve les dirigeants de l'Entité sioniste accusent les Iraniens de l'attentat en Bulgarie et maintenant aussi le Hezbollah... comme par hasard les deux derniers dirigeants de la région à refuser l'hégémonie de l'Occident, ses diktats, ses lois, son Nouvel Ordre Mondial dictatorial monstrueux !
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Lorsque la Syrie sera domptée et qu'elle servira à son tour de base contre l'Iran, l'Occident "démocrate" s'attaquera aux derniers non-alignés : l'Iran et le Liban (du Hezbollah) d'abord, puis à la Russie et enfin à la Chine. Parallèlement, des coups d'Etat feutrés sont menés contre des Etats progressistes d'Amérique Latine (Honduras, Paraguay pour commencer), en attendant les gros morceaux vénézuelien, bolivien, cubain, etc, qu'il faudra de force aligner, soumettre au Nouvel Ordre Mondial anglo-saxon et israélien.
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La suite, on la devine : La guerre mondiale pleine et entière,  peut-être 5 milliards de morts, une partie de l'humanité ruinée (et les Industriels de la Reconstruction aux mains des Cheney et Co à l'oeuvre), les ressources accaparées, des dirigeants et des Médias aux ordres, le Nouvel Ordre Mondial et son contrôle total des individus. 
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Mais la guerre mondiale a commencé en Europe avec l'attaque de la Yougoslavie communiste et souveraine, elle se poursuit discrètement aujourd'hui avec la Syrie, et lorsque l'Iran sera ciblé à son tour, nous aurons tout à craindre. 
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Et pourquoi l'Occident a-t-il lancé cette guerre contre l'humanité ? Exsangue économiquement parlant, maintenu sous perfusion sur le plan financier, confronté au boom démographique, à l'épuisement des ressources surexploitées par lui, obsédé par le besoin de dominer et de contrôler tout (Nations, Pouvoirs, Médias, peuples... de manière anti-démocratique), et soucieux de vendre au maximum ses armes de destruction massive de plus en plus sophistiquées comme de les "rentabiliser" sur les populations (pour des raisons de profit, de dépopulation et de manifestation de sa puissance), cet Occident s'est lancé dans une folle fuite en avant pour l'accaparement des terres, des ressources vitales, des zones stratégiques notamment pour le passage des pipe-line... et il installe partout des bases militaires à son service. Il tient aussi à imposer au monde son Système capitaliste anglo-saxon générant des profits insensés pour les uns, la misère pour les autres. Au final, tout doit aboutir au Nouvel Ordre Mondial, au Pouvoir unique orchestré par les Grandes banques sur le dos des peuples, en spoliant les Nations de leurs réserves d'or, de leurs richesses, de leurs ressources, de leurs libertés, de leurs droits, de leurs protections sociales, de leurs services publics, de leur patrimoine.... comme en Grèce, d'abord en privant peu à peu les pays émergents (la Russie, la Chine..) de leurs zones d'influence, ensuite en attaquant les non-alignés, les pays réfractaires à cette gouvernance mondiale inique et dangereuse.
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Sans une réaction rapide, globale et concomitante des populations de la planète à cette menace totale, nous nous dirigeons vers l'apocalypse nucléaire, vers une "shoa" mondiale, et probablement vers la fin d'une humanité à la seule inique discrétion des apprentis sorciers à Londres, à Washington, à Tel-Aviv, à Paris, qui se sont arrogés droit de vie et surtout de mort sur les peuples conditionnés par les Médias prostitués.
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Eva R-sistons

Pourquoi la 3e guerre mondiale a déjà démarré

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18 juillet 2012 3 18 /07 /juillet /2012 18:31

 

Mali : Chaque heure qui passe comporte des risques évidents


Mali : Chaque heure qui passe comporte des risques évidents

 

Le Conseil de sécurité de l’ONU a appelé à des sanctions contre les rebelles du Nord du Mali qui s'allieraient à Al-Qaïda, dans une résolution adoptée à l'unanimité jeudi à New York par les 15 membres, dont le Togo, rapporte le site onutogo.org.

La résolution appelle les Etats membres à soumettre (..) les noms des individus, groupes et entités qui sont associés à Al-Qaïda, y compris dans la région du Sahel et en particulier dans le nord du Mali afin qu'ils fassent l'objet des sanctions prévues par l'ONU contre ceux qui soutiennent Al-Qaïda.
 
 Elle demande instamment aux groupes rebelles au Mali de s'abstenir de toute forme d'association avec al-Qaïda au Maghreb islamique et de lutter contre la menace représentée par des groupes terroristes au Mali.
 
La résolution soutient pleinement les efforts des organisations régionales, dont la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) et l'Union africaine, pour régler la crise au Mali. Mais elle ne leur donne pas encore de mandat de l'ONU pour déployer une force africaine contre les rebelles du Nord.
 
La résolution, présentée notamment par la France, prend note de la demande de la Cédéao et de l'Union africaine d'un mandat du Conseil de sécurité autorisant le déploiement de la force. Le Conseil se contente de se déclarer prêt à examiner plus avant cette requête une fois que des informations supplémentaires auront été fournies en ce qui concerne les objectifs, les moyens et les modalités du déploiement envisagé.
 
La Cédéao prépare depuis plusieurs semaines l'envoi éventuel d'une force au Mali, dont l'effectif est actuellement fixé à quelque 3.300 hommes. Ses dirigeants avaient appelé vendredi dernier le Conseil de sécurité à accélérer l'adoption d'une résolution autorisant le déploiement de ses troupes contre les groupes armés qui contrôlent le nord du Mali.
 
La résolution adoptée jeudi avertit aussi les islamistes qui ont détruit des mausolées musulmans à Tombouctou qu'ils pourraient être traînés devant la Cour pénale internationale (CPI).
 
Le texte souligne que de telles attaques contre le patrimoine culturel ou religieux peuvent constituer des violations des lois internationales, aux termes du Statut de Rome qui a créé la CPI ainsi que des Conventions de Genève.
 
Le document appelle ainsi toutes les parties au Mali à prendre toutes les mesures appropriées pour assurer la préservation des sites qui appartiennent au Patrimoine mondial.

 

http://www.republicoftogo.com/Toutes-les-rubriques/Diplomatie/Mali-Chaque-heure-qui-passe-comporte-des-risques-evidents

 

 

Sur ce site,

 

Ahmadinejad invite Faure au sommet des non-alignés

 

118 pays, dont le Togo, sont membres de cette organisation créée en 1956 en pleine guerre froide et qui se définissaient à l’époque comme n'étant alignés ni avec ni contre aucune grande puissance mondiale.


Le MNA a perdu de son influence depuis la disparition du régime soviétique même si plusieurs grandes nations continuent d’y adhérer ; c’est le cas de l’Inde et du Pakistan. En revanche la Chine a préféré se retirer il y a quelques années.

 

http://www.republicoftogo.com/Toutes-les-rubriques/Diplomatie/Ahmadinejad-invite-Faure-au-sommet-des-non-alignes

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