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26 juillet 2011 2 26 /07 /juillet /2011 07:40

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Bonjour
 
Ceci est un message à toutes les personnes qui ont contacté l'observatoire Internationale Pour La Paix en Libye
 
Nous sommes en attente de l'autorisation de l'Organisation des Nations Unies pour atterrir directement à Tripoli, sinon nous serons obligés de passer par Djerba
 
Il reste encore des places dans l'avion, vous pouvez inviter vos contacts à participer au voyage car nous prenons les inscriptions jusqu'au dernier moment
 
Nous vous demandons de vous tenir prets  dès mardi 26 Juillet
Nous vous tenons informés
 
Bien Cordialement
 
Smaïn
Observatoire Internationale Pour la Paix en Libye

 

 

Voir ici :

 

Urgent: Voyage Gratuit en Libye loin des médiamensonges - Libye coupée en 2 ?

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19 mars 2011 6 19 /03 /mars /2011 21:56
Pas qu’une zone d’exclusion aérienne : feu vert à la nouvelle guerre humanitaire
Maurizio Matteuzzi

vendredi 18 mars 2011, par Comité Valmy


(Le titre de l’article écrit avant la résolution du Conseil de sécurité, avait, dans il manifesto, un point d’interrogation ; l’annonce faite cette nuit par ce même Conseil consent, en respectant l’esprit de l’article, à l’effacer, NDT)

Le vote au Palais de verre était annoncé vers 11h hier soir, trop tard pour nous qui écrivons. Mais, dans l’après-midi, tout laissait penser que la résolution présentée au Conseil de sécurité par la France, l’Angleterre et le Liban pour l’imposition d’une zone d’exclusion aérienne sur la Libye allait passer. Et, comme l’a dit le ministre français des affaires étrangères Alain Juppé, que les opérations militaires pourraient commencer « d’ici quelques heures ». L’OTAN aussi, par son secrétaire Rasmussen, s’est dit prêt et convaincu, qu’ « il n’est pas trop tard pour une intervention en Libye », nécessaire parce qu’ « une victoire de Kadhafi démontrerait que la violence paye ».

Hier après-midi (heure italienne), l’ambassadeur français à l’ONU, Gérard Araud, se montrait très optimiste et certain que la résolution allait passer au Conseil de sécurité, fût-ce sans l’unanimité : « il y aura des surprises ». Des rumeurs au Palais de verre new-yorkais colportaient que la Russie et la Chine, qui ont un pouvoir de veto et s’étaient jusque là dites opposées à toute intervention militaire contre la Libye, plutôt que d’utiliser leur veto auraient pu s’abstenir en permettant ainsi à la résolution de passer, dans le cas où elle obtiendrait 9 voix sur 15. D’autres affirmaient que l’Inde allait s’abstenir ou voter non. La position du Portugal et de l’Allemagne n’étaient pas encore claire : ces derniers jours ils avaient souligné qu’ils préféraient un durcissement des sanctions plutôt qu’une opération militaire. De tous les autres pays membres du Conseil, on s’attendait au feu vert et à au moins 10 oui.

En avant, on fait chauffer les moteurs et on part pour la Libye. Et pour une autre belle « guerre humanitaire » de l’Occident, après l’Irak (deux fois), la Serbie, la Somalie et l’Afghanistan.

Car il est inutile de se cacher derrière la feuille de vigne humanitaire. Il ne s’agit pas que d’une action d’interdiction -« no fly zone- mais d’une véritable guerre, et déclarée. De fait, selon l’ébauche de résolution lue par le ministre des affaires étrangères britannique William Hague, le texte impose « le cessez-le-feu immédiat, la fin complète de la violence, l’interdiction de tous les vols dans l’espace aérien libyen à l’exception des vols humanitaires » : avec l’interdiction concomitante pour les avions libyens de décoller, atterrir ou survoler le territoire de tout autre Etat membre de l’ONU (donc pratiquement du monde entier). Ce n’est pas tout. L’ébauche de résolution prévoit aussi, a rappelé Hague, l’adoption de « touts les mesures nécessaires exceptée une force d’occupation », naturellement avec le noble motif de « protéger les civils ».

Si Juppé et Hague, Sarkozy et Cameron, la France et l’Angleterre, sont les plus fervents dans le soutien d’une action militaire contre la Libye, (de nouveau ensemble comme en 1956 quand ils intervinrent de concert avec Israël contre l’Egypte de Nasser), les développements de ces dernières heures ont été déterminés par ce que l’agence Reuter définit comme « le rapide changement de ton » des USA. Jusqu’ici, il semblait que l’administration étasunienne fût très prudente et peu encline à une nouvelle aventure militaire dans une zone aussi explosive que l’Afrique du Nord arabo-musulmane (et pétrolière) ; en particulier dans une phase où les Etats-Unis sont déjà engagés lourdement (et avec peu de perspectives de victoire ou de désengagement à brève échéance) sur des théâtres de guerre ouverte come l’Afghanistan et l’Irak, puis, maintenant sur le théâtre d’une immense catastrophe naturelle comme le Japon.

L’administration, disait-on, était divisée entre, d’un côté, Obama et le Pentagone avec son ministre Robert Gates réticents à l’action militaire directe, et de l’autre le Département d’Etat et son chef Hillary Clinton (appuyée aussi par son mari Bill), favorables eux à l’intervention. A la fin, à ce qu’il semble, les époux Clinton l’ont emporté. Et hier le sous-secrétaire d’Etat William Burns a dit que les USA voulaient une résolution ONU qui permette non seulement la zone d’exclusion aérienne mais aussi des raids aériens contre « les tanks et l’artillerie lourde libyens » et l’usage « de toutes les méthodes à l’exception d’une force d’occupation sur le terrain » (« no boots on the ground », a dit Burns).

L’objectif est de protéger les civils libyens de la violence de Kadhafi (et des probables « atrocités » qui selon Human Rights Watch suivraient la reconquête aussi de Bengazi) et, comme l’a précisé le porte-parole de la Maison Blanche Jay Carey, « d’aller vers une situation où Kadhafi ne soit plus au pouvoir ». En clair vers un de ces nombreux régimes de transition dans lesquels se sont engagés les USA, non seulement ceux de Bush mais aussi ceux d’Obama (se souvient-on du marginal Honduras ?).

Une des conditions posées par Washington pour le « tournant rapide » était l’engagement direct « des Arabes » dans la guerre humanitaire anti-Kadhafi. Qui, avec la demande de zone d’exclusion aérienne venue et de la Ligue Arabe et du Conseil de coopération du Golfe, n’aillent pas s’imaginer qu’ils pouvaient s’en laver les mains. Sitôt dit sitôt fait. Hier est arrivée la confirmation que « peut-être » au moins le Qatar et les Emirats arabes unis, et « peut-être » aussi la « démocratique » Jordanie du roi Abdallah sont prêts à y participer avec le consentement de l’utilisation de leurs bases et le survol de leur espace aérien (sec refus par contre de l’Egypte, malgré l’avertissement de madame Clinton, de Tunis où elle est en visite, déclarant que le maintien de Kadhafi au pouvoir, « causerait des problèmes pour le Caire et Tunis et qui que ce soit d’autre »). Aucun problèmes si les compagnons de route humanitaires arabes sont ceux-là même qui ont demandé il y a quelques jours l’aide fraternelle des troupes saoudiennes et des policiers des Emirats pour écraser dans le sang la « protestation pacifique » au Bahrein. Il y a intervention humanitaire et intervention humanitaire.

Edition de vendredi 18 mars de il manifesto

http://www.ilmanifesto.it/Quotidiano-archivio/18-Marzo-2011/art40.php3

Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio

 

http://www.comite-valmy.org/spip.php?article1277

 

 

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28 novembre 2010 7 28 /11 /novembre /2010 20:57

Une fois de plus la France s’est opposée à éclaircir une situation dans laquelle le peuple d’un Territoire Non Autonome - une colonie - est en détresse et grande souffrance.

La France, après l’attaque par les autorités marocaines du campement de tentes de Gdem izik, après les combats de rues dans El Aaiun, Smara et Dakhla au Sahara Occidental occupé, s’est opposée à l’envoi d’urgence d’une mission d’enquête de l’ONU pour établir les faits dramatiques de la semaine dernière et le bilan en pertes humaines.

Pourtant le Maroc, crie sur tous les toits que les Sahraouis, au lieu de se laisser massacrer en silence sans rien dire comme se doivent des civils face à l’armée, se sont défendus et ont tué des militaires. La France refuse donc aussi qu’une mission d’enquête indépendante soit envoyée pour faire la lumière sur la mort de recrues de l’armée de son grand ami le Maroc.

Probablement est-ce que la France sait que pour dix militaires morts quand ils ont attaqué les civils, la proportion de civils morts et son cortège d’ignominie, est exponentiellement écrasante.

Le Maroc donne ses chiffres, les prouve sûrement, et le Maroc détient les corps des Sahraouis morts pendant l’attaque et sous la torture les jours suivants, mais ne reconnaît que ceux qu’il ne peut nier.

La France se déshonore encore une fois pour masquer la culpabilité du Maroc et l’ampleur des faits et de l’ignorance internationale, y compris du département des opérations de maintien de la paix de l’ONU, le France préfère le hiatus.

Après avoir entendu que la Minurso avait été interdite par les Marocains de constater ce qui se passait sur place, la France, membre permanent du conseil de sécurité, a menacé d’user de son droit de veto pour empêcher que soit établie une vérité Onusienne. Les membres du conseil de sécurité permanents et non permanents - Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie, Turquie, Japon, Ouganda, Autriche, Bosnie-Herzégovine, Brésil, Gabon, Liban, Nigéria - n’ont pas suivi la proposition du Mexique et l’enquête n’aura pas lieu. Le communiqué de presse de la résolution réaliste proposée par l’Ouganda ne sera pas envoyé. Il ne reste que les paroles de condamnation de la situation. Aucun acte.

Si ce n’est pas là une façon peu courageuse d’adopter la même position, avec une répartition des rôles bien orchestrée - la France méchante et les autres qui cèdent-, alors il faut laisser la France aller jusqu’à user de son veto.

Il ne doit pas y avoir de solidarité dans l’abjection. Que la France pose son veto, et déclare sa guerre aux Sahraouis, sans autres complices que le Maroc.

Les autres états membres sont dans le juste et le courage.

Mais maintenant devant l’impasse et l’urgence, l’Assemblée Générale des Nations Unies doit avoir quelque chose à dire sur ce qu’il advient des populations autochtones au Sahara Occidental du fait de l’occupation et de la violence Marocaine.

APSO, 17 novembre 2010 Photo EM, source Innercitypress, UN

 

 
P.S.
 
http://www.oulala.net/Portail/spip.php?article4822
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26 septembre 2010 7 26 /09 /septembre /2010 04:50

Nouakchott attaque les terroristes, le Mali est en état d’alerte et la France évacue ses expatriés

Al-Qaïda met le Sahel en ébullition

Par : Merzak T./Agences


Le rapt de sept employés d’Areva et de Vinci, dont cinq ressortissants français, a mis en effervescence les pays du Sahel, où la traque des terroristes a été lancée par l’armée mauritanienne, donnant lieu à des combats sanglants dans le désert malien avec des bilans contradictoires.

 


1

Après l’enlèvement de sept employés des firmes Areva et Vinci, jeudi dans le nord du Niger, la France a procédé vendredi à l’évacuation de ses ressortissants en poste dans cette région, pendant que l’armée mauritanienne annonçait avoir tué douze membres d’Al-Qaïda au Maghreb islamique dans des combats qui se déroulaient dans le nord du Mali. “Notre armée a tué 12 terroristes armés et en a blessé autant dans les affrontements de vendredi”, a déclaré un responsable militaire mauritanien, qui a ajouté que “deux militaires mauritaniens ont été tués et quatre autres blessés”. La même source soulignera que “l’armée encercle actuellement une vingtaine de véhicules des éléments armés d’Aqmi près de la localité malienne de Areich Hindi, non loin de Hassisidi (à une centaine de kilomètres au nord de Tombouctou, ndlr) où les combats de vendredi s’étaient déroulés”.

Des bilans contradictoires
Mais une source algérienne, sous le couvert de l’anonymat, a indiqué hier que les combats entre l’armée mauritanienne et des éléments d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) dans le nord du Mali ont fait “au moins dix” morts parmi les militaires mauritaniens, avant d’ajouter que “le bilan pour le moment est très provisoire, mais il y a eu de nombreuses victimes (morts et blessés) dans les rangs de l’armée mauritanienne”. Invité par l’AFP à évaluer le nombre de décès dans les rangs de l’armée mauritanienne, la même source a ensuite affirmé que “puisque vous parlez de chiffres, je dis au moins dix”. De leur côté, “les islamistes ont perdu pour le moment moins de cinq personnes. Ils ont aussi des blessés. Mais il y a eu de nombreuses victimes parmi les militaires mauritaniens”, a insisté la même source.


Cette version a été corroborée par un élu du nord du Mali, qui a déclaré à l’AFP que “ce que nous ont dit les nomades qui sont revenus de non loin de là où les combats se sont déroulés hier (vendredi), c’est que beaucoup de militaires mauritaniens sont morts”.
Quelques heures plus tard, elle reverra le bilan à la hausse en affirmant qu’“au moins cinq véhicules de l’armée mauritanienne sont tombés aux mains des islamistes et le nombre de morts s’élève actuellement à au moins 15”. Un militaire de haut rang à joint par l’AFP à Nouakchott, a corrigé son bilan provisoire. “Nous avons 5 morts dans nos rangs et 9 blessés dont la majorité légèrement”.
Devant le danger guettant leurs employés, les groupes français Areva et Vinci ont décidé vendredi d’évacuer tous leurs expatriés du nord du Niger, alors que des soupçons pèsent sur des “complicités” dans la sécurité du site d’Arlit, où cinq Français et deux Africains ont été enlevés la veille. Les salariés étrangers travaillant dans cette zone stratégique pour la production d’uranium sont en cours de transfert vers Niamey. Ceux qui le désirent pourront être rapatriés en France, où sont déjà arrivés vendredi matin certains employés d’Areva, a-t-on appris auprès des deux entreprises. Les premiers concernés par l’évacuation sont les expatriés du site d’extraction d’uranium d’Arlit, à 1 000 km au nord-est de Niamey. Tous devraient avoir regagné la capitale nigérienne d’ici la fin du week-end, selon Areva et Vinci.
Par ailleurs, les sept otages ont “traversé la frontière” et se trouvent actuellement dans le désert malien.

Les aveux du président malien
Ceci étant, le président malien, Amadou Toumani Touré, a affirmé que le Mali était “en état d’alerte” après l’enlèvement de cinq Français et de deux Africains dans le Niger voisin, précisant que l’option tout-sécuritaire ne suffisait pas, dans un entretien avec des médias français. “Le Mali est mobilisé, nous avons mis toutes nos forces en état d’alerte, nous soutenons l’armée nigérienne dans cette quête”, a affirmé Amadou Toumani Touré dans cet entretien réalisé vendredi, qui sera diffusé dimanche sur la radio RFI. “Nous avons permis à tous les pays riverains de faire des poursuites si éventuellement les assaillants rentraient en territoire malien”, a rappelé Amadou Toumani Touré.
Le président malien a prôné une réponse globale au terrorisme. “Le terrorisme se nourrit du sous-développement, surtout de la précarité (...). C’est la petite divergence que nous avons avec certains de nos voisins, pour certains c’est le tout-sécuritaire, mais cela ne suffit pas”. Amadou Toumani Touré est aussi revenu sur la libération controversée en février de quatre islamistes détenus au Mali, en échange de la remise en liberté de l’otage français, Pierre Camatte, qui avait suscité la colère de l’Algérie et de la Mauritanie, en reconnaissant que “c’était la décision la plus importante et la plus difficile que j’ai jamais prise de ma vie : que faire ? Je ne négocie rien et j’abandonne la vie de Pierre Camatte ou bien fallait-il négocier ? Pierre est notre hôte et la France est un pays ami. Nous avons libéré ces gens après les avoir jugés et nous avons récupéré Pierre Camatte. Il y a deux écoles qui s’affrontent”. “Dès qu’on commence à négocier, nous sommes dans une position de faiblesse. La solution, c’est le travail en amont, il faut faire en sorte qu’il n’y ait pas de prise d’otages”, a-t-il souligné.

La France sous le coup d’une menace terroriste majeure
Même si le Quai d’Orsay a affirmé hier que la France n’est pas engagée militairement dans les combats en cours dans le nord du Mali entre l’armée mauritanienne et des éléments d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), et ceux-ci n’ont pas de lien avec le rapt des 7 personnes dont 5 Français, le chef des services de contre-espionnage, Bernard Squarcini, a estimé que “la France est sous le coup d’une menace terroriste majeure”, dans des propos publiés hier par le quotidien Le Monde daté de dimanche-lundi. “Tous les clignotants sont au rouge. La France est sous le coup d’une menace terroriste majeure”, a assuré Bernard Squarcini, patron de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI). M. Squarcini a notamment mis en avant l’enlèvement vendredi de cinq Français dans le nord du Niger, ainsi que “des informations concordantes qui nous parviennent”. Depuis une semaine, les responsables français multiplient les mises en garde contre un attentat. Il y a une semaine dans le Journal du Dimanche, Bernard Squarcini avait ainsi assuré que la menace d’un attentat sur le sol français n’avait “jamais été aussi grande”. Ces propos ont été confirmés, jeudi, par le ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux, qui avait affirmé que la “menace s’est réellement renforcée ces derniers jours et ces dernières heures”. Avec l’adoption, le 14 septembre, d’une loi interdisant le voile islamique intégral dans l’espace public, la participation du contingent français aux opérations en Afghanistan, l’attaque en juillet par un commando français d’une base d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) qui a fait sept morts parmi les jihadistes, les griefs des extrémistes musulmans contre Paris ne manquent pas.
Après le raid dans le Sahara qui a échoué à libérer l’otage Michel Germaneau, Aqmi avait juré vengeance, écrivant dans un communiqué : “à l’ennemi d’Allah, Sarkozy, je dis : vous avez manqué une occasion et ouvert la porte de l’horreur pour vous et votre pays”.


http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=142823&titre=Al-Qa%C3%AFda%20met%20le%20Sahel%20en%20%C3%A9bullition

 

http://news.stcom.net/modules.php?name=News&file=article&sid=5484

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