Déjà en 1950, la Russie était visée !
Document d'époque cité par F. Asselineau
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MeRdia de désinformation, de propagande.
http://www.islametinfo.fr/2013/10/05/video-russie-poutine-futur-prix-nobel-de-la-paix/
La Russie est le meilleur atout pour la Paix
Par eva R-sistons
Propagande de guerre honteuse, à laquelle se prêtent les médias français asservis aux Puissances atlantistes. A Kiev, on accuse la Russie de vouloir la 3e guerre mondiale. Aussitôt la télévision et la Presse reprennent ces fausses rumeurs, ces accusations sans le moindre fondement.
Je le dis, et je le répète clairement : Aucun pays au monde ne tient tant à la paix que la Russie. Car aucun pays au monde n'a autant souffert de la guerre : Plus de vingt millions de morts pour la seule Russie lors de la seconde guerre mondiale, par exemple, et puis Moscou détruite, ses villages aussi, et les récoltes....
Au prix de sacrifices démesurés, la vaillante Russie a vaincu l'armée de Napoléon et celle d'Hitler, elle a libéré le monde du nazisme hitlérien.
Quand on a subi tant d'atrocités, on ne veut plus de guerre. Comme l'Allemagne, d'ailleurs.
La Russie de Poutine est encerclée par les bases de l'OTAN, elle fait tout pour se protéger et protéger les Pro-Russes, en tentant notamment de retrouver une partie de son espace vital, de sa liberté. Mais elle milite pour un monde multipolaire, et elle refuse de s'ingérer dans les affaires des autres, contrairement à l'Occident impérialiste. En Crimée, elle a défendu ses terres, sa base navale, son peuple qui l'a appelée à l'aide. Avec à la clef aucun mort, et un référendum démocratique. Et l'Occident belliciste l'accable de reproches ! Il ne tolère pas qu'elle défende ses intérêts, ses frères de sang, les espaces qui lui restent. L'Occident a tous les droits, la Russie aucun ! Et pour gagner l'Opinion, il travestit la réalité, ment, inverse les rôles. C'est infâme !
Et si la guerre mondiale n'a pas commencé, aujourd'hui, c'est grâce à la Russie qui a stoppé net l'élan meurtrier des Etats-Unis en interceptant les deux premiers missiles lancés sur Damas en 2013, missiles qui devaient être le signal de l'entrée en guerre d'une France au service des intérêts d'Israël. C'est aussi la Russie qui a proposé que la Syrie rende ses armes chimiques, pour apaiser la situation.
Oui, la Russie qui a tant souffert de la guerre fait tout pour l'éviter et l'éviter au monde. La campagne de propagande mensongère à son encontre est un des grands scandales de notre temps; Elle doit sans cesse être dénoncée, au nom de la vérité !
Il est temps de démasquer les imposteurs, et de révéler au monde la réalité : L'Occident prépare en coulisses la 3e guerre mondiale pour masquer son effondrement économique, imposer au monde sa domination, et au passage, provoquer une dépopulation à grande échelle. C'est tout simplement monstrueux !
Les mensonges des dirigeants et des médias atlantistes sont intolérables, comme l'inversion constante des rôles.
J'ose le dire: La Russie, aujourd'hui, est le meilleur atout pour la paix. Et si comme le Général de Gaulle en avait eu la vision, l'UE et la Russie scellaient leur union, une union équilibrant la puissance des Anglo-Saxons, alors la paix aurait réellement avancé...
Meci Jean-Pierre Chevènement d'avoir, aujourd'hui, rétabli l'honneur de la France. Et rappelé son devoir !
Vive la paix ! Vive la Russie ! Honte à l'Occident menteur, prédateur, criminel !
Eva R-sistons (Chantal Dupille)
TAGS : Russie, Poutine, guerre mondiale, Crimée, Ukraine, De Gaulle, Chevènement, UE, atlantiste, Etats-Unis, Israël, Kiev, Moscou..
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Beaucoup écoutent naïvement les mensonges colportés par l’Occident sur la Russie comme si nous n’en avions pas été les premières victimes.
Si l’Occident attaque aujourd’hui la Russie c’est pour empêcher, comme pour les pays musulmans ou la Chine, la possibilité à une civilisation de s’affirmer contre l’hégémonie américaine.
Le tout est qu’aujourd’hui les encerclés comprennent qu’il faut qu’ils se parlent. Se battre entre nous en Syrie, en Tchétchénie ou chez les Ouighours est le meilleur moyen de précipiter notre chute commune.
http://www.islametinfo.fr/2014/03/18/pourquoi-la-russie-de-poutine-est-detestee-des-occidentaux/
Mes tweets :
Poutine ne veut pas du NWO : Perte de la capacité à se reproduire, Monde unipolaire standardisé, "Etats" vassaux http://www.youtube.com/watch?v=9OgggroFoSw
Poutine : "Les décisons clefs devraient être prises COLLECTIVEMENT plutôt que dans l'ombre pour servir des intérêts de certains pays ou groupes de pays."
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En 1812 la Russie compte 900 000 hommes dans son armée de terre, donc avait plus d’un million d’hommes mobilisés. (Wikipedia)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerres_napol%C3%A9oniennes#Campagne_de_Russie_1812
En 1812, Napoléon envahit la Russie pour obliger le tsar à maintenir le Blocus continental et éloigner la menace d’une invasion de la Pologne par la Russie. La Grande Armée (650 000 hommes dont 270 000 Français) franchit le Niémen le 23 juin 1812. La Russie proclame la Grande guerre patriotique alors que Napoléon avait proclamé la seconde guerre polonaise. Mais, contrairement aux attentes des Polonais, qui fournissent presque 100 000 hommes, Napoléon évite de faire des concessions à la Pologne, les repoussant aux négociations avec la Russie. Soit volontairement, soit par crainte d’affronter sur le champ de bataille Napoléon, les Russes reculent et pratiquent la politique de la terre brûlée, jusqu’à la bataille de la Moskowa, le 7 septembre. Cette bataille sanglante force les Russes à se retirer, et Moscou est prise et mise à sac le 14 septembre. Alexandre Ier refuse de négocier, et Napoléon, sans espoir de victoire décisive, est forcé de faire retraite et d’abandonner Moscou, lorsque son gouverneur, le prince Rostopchine, l’incendie. Avec la Retraite de Russie, la Grande Armée perd 370 000 hommes (en comptant les pertes lors des batailles) et 200 000 soldats sont faits prisonniers. En novembre, seuls 90 000 hommes franchissent la Bérézina. Napoléon doit de plus abandonner son armée pour retourner à Paris, où le général Malet a tenté un coup d'État, et pour préparer la défense de la Pologne. La situation de l’Empereur n’est alors pas si critique qu’il y paraît. Les Russes avaient perdu 400 000 hommes, et leur armée était aussi épuisée. Mais leurs lignes de ravitaillement étaient plus courtes, et ils pouvaient renouveler leurs effectifs plus rapidement que la France. (Wikipedia)
... // Vidéo Barbarossa : L'invasion de l'U.R.S.S
apocalypse.france2.fr
À la fin de 1942, au moment où l'Allemagne, l'Italie et le Japon ont atteint le zénith de leur puissance expansive, leurs forces subissent en Russie, en Afrique et dans le Pacifique des coups d'arrêt que l'avenir révélera décisifs.
La victoire de l'armée soviétique devant Moscou est suivie dans les deux camps par une période de relative accalmie, mise à profit par l'URSS pour réorganiser ses armées et transférer de nombreuses usines de guerre en direction de l'Oural, en Sibérie et au Turkestan.
La guerre sur le front russe, 1943
Le 5 avril 1942, Hitler fixe à la Wehrmacht les objectifs de sa prochaine offensive, qui visera la Volga, le Caucase et son pétrole. Retardée par une action de l'Armée rouge au sud de Kharkov (mai), elle débouche le 28 juin en direction de Voronej, pivot à la boucle du Donets, tandis que capitule Sébastopol après un siège de 250 jours.
Le front russe est percé sur 500 km, et, après la chute de Rostov (23 juillet), les Allemands se lancent vers le Caucase, entrent à Maïkop, plantent le drapeau à croix gammée au sommet de l'Elbrous (21 août) ; ils sont bloqués dans la région du Terek à 120 km de la Caspienne, mais à 600 km de Bakou.
Au même moment, la VIe armée (→ Paulus) franchit le Don à Kalatch, atteint la Volga (20 août) et conquiert du 1er au 15 septembre une grande partie de la ville de Stalingrad.
Alors que Hitler croit tenir la victoire, débouche le 19 novembre la contre-offensive soviétique qui, encerclant l'armée de Paulus, la contraint à capituler le 2 février 1943.
Cette première grande défaite allemande a un énorme retentissement : toute une armée a été détruite après avoir perdu 250 000 hommes à cause de l'entêtement du Führer, ce qui a pour effet de dresser contre lui nombre de chefs militaires. L'Armée rouge a pris l'initiative des opérations ; elle ne l'abandonnera plus jusqu'à Berlin.
Pour en savoir plus, voir l'article bataille de Stalingrad.
Si, en 1943, les alliés anglo-saxons ont obtenu des résultats décisifs en Afrique et en Italie, ils n'y ont immobilisé qu'une très faible partie de la Wehrmacht. Les trois quarts du potentiel militaire allemand s'appliquent encore au front soviétique, où, au cours de la même année, la victoire va aussi définitivement changer de camp.
Au nord, la prise de Schlüsselburg par les Soviétiques (12 janvier) dégage Leningrad ; celles de Viazma et de Rjev (mars) refoulent la Wehrmacht à 250 km de Moscou, mais c'est au Sud qu'ont lieu les actions décisives.
Au lendemain du désastre de Stalingrad (février 1943), les Allemands, chassés du Caucase comme de la boucle du Don, doivent abandonner Rostov, Koursk et Kharkov (qui est reconquis en mars par Manstein). Le 5 juillet 1943, l'échec de la double offensive blindée allemande (Manstein-Kluge) sur le saillant de Koursk signifie la perte désormais irréversible de l'initiative par la Wehrmacht sur le front de l'Est.
Le 12, l'offensive soviétique de Rokossovski sur Orel est la première d'une série de coups de boutoir sur Kharkov, Briansk et Smolensk qui mènent à la fin de septembre l'Armée rouge sur le Dniepr : il sera largement franchi en novembre, malgré la réaction de Manstein à Jitomir.
Refusant tout répit à Hitler, Staline déclenche dès le 18 décembre 1943 la campagne d'hiver : au Nord, la Wehrmacht est refoulée de 200 km sur Narva et Pskov (janvier 1944) ; au Sud, Vatoutine, Koniev, Malinovski et Tolboukhine portent leurs forces sur le Boug (février) et le Dniestr (mars), tandis que Joukov entre en Galicie polonaise, atteint Tchernovtsy et Kovel et menace Lvov.
Le 15 avril, après la prise d'Odessa et de Ternopol, le front se stabilise : l'Ukraine est totalement libérée, les Soviétiques sont à la porte des Balkans ; Sébastopol tombe le 9 mai ; seuls les pays Baltes et la Russie blanche (actuelle Biélorussie) sont encore aux mains de la Wehrmacht.
Pour en savoir plus, voir l'article guerre germano-soviétique.
http://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/Seconde_Guerre_mondiale/122570
Famille regardant sa maison détruite, 1er septembre 1943.
Wikipedia
Forces soviétiques | ||||
---|---|---|---|---|
Total morts | Tués/disparus | Faits prisonniers | Prisonniers morts en captivité | |
URSS | 10 600 000 | 6 829 437123 | 5 200 000 | 3 300 000 |
Pologne | 24 000 | 24 000 | Inconnu | Inconnu |
Roumanie | 17 000 | 17 000 | 80 000 | Inconnu |
Bulgarie | 10 000 | 10 000 | Inconnu | Inconnu |
Total | 10 651 000 | 6 927 204 + partisans morts | 5 280 000 | 3 300 000 |
WIKIPEDIA Pertes militaires de l'Axe sur le front de l'Est121
Forces de l'Axe | ||||
---|---|---|---|---|
Total morts | Tués/disparus | Faits prisonniers | Prisonniers morts en captivité | |
Allemagne | 4 300 000 | 4 000 000 | 3 300 000 | 374 000 |
Citoyens soviétiques ayant rejoint l'Allemagne | 215 000+ | 215 000 | 1 000 000 | Inconnu |
Roumanie | 281 000 | 81 000 | 500 000 | 200 000 |
Hongrie | 300 000 | 100 000 | 500 000 | 200 000 |
Italie | 82 000 | 32 000 | 70 000 | 50 000 |
Total | 5 178 000+ | 4 428 000 | 5 450 000 | 824 00 |