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13 août 2014 3 13 /08 /août /2014 15:50

 

 ALERTE PUBS ENVAHISSANTES, DELIRANTES,

AUCUN HEBERGEUR N'IMPOSE AUTANT DE PUBS

PARTOUT, MEME ENTRE DES LIGNES, ENORMES,

SALES CAR NE RESPECTANT PAS LE CONTENU,

LE BLOGUEUR ET LE VISITEUR ! FUYEZ CE SITE

ET TOUT SITE SOUILLE COMME CELUI-CI !

NB Aux dernières nouvelles,

suite à ces quelques lignes sur mes blogs,

les pubs sont devenues moins envahissantes.

Jusqu'à quand ?


Mais la présentation de ce blog est saccagée !


OB-pub-panneau.jpg .

Toutes les pubs pouvant surgir sur ce site,

ne sont pas de mon fait.

Nous en reparlerons, car je réagirai en conséquence,

mais pas pour l'instant, car je suis occupée

à rédiger trois nouveaux ouvrages

à paraître sous trois mois environ.

NB Boycottez les produits faisant de la pub.

Un bon produit n'a pas besoin de pub... eva R-sistons

 

 

 

La Bataille de Donetsk se prépare :
encore combien de morts ?
par Karine Bechet-Golovko

mercredi 13 août 2014, par Comité Valmy


La Bataille de Donetsk se prépare :
encore combien de morts ?

Avant le 24 août. Donetsk doit être prise avant le 24 août, date de l’indépendance de l’Ukraine face à l’Union soviétique. L’armée ukrainienne doit libérer Donetsk de son peuple avant le 24 août, pour dignement fêter dans le sang et les décombres cette date symbolique. Et tout semble être mis en place pour cela, même des convois "humanitaires/militaires" canadiens arrivent à bon port au bon moment. Et les médias, notamment français, commencent à préparer la bonne population à la bonne compréhension de l’évènement.


La presse française, qui parle peu des massacres en Ukraine, tout occupée qu’elle est à justifier la position présidentielle en Irak - armer les kurdes contre les islamistes armés par les américains qui maintenant sont devenus des ennemis - et en Israel - si, on peut bombarder Gaza autant qu’il le faut, c’est normal, mais on aime bien les pauvres palestiniens quand même.

Dans cette perspective, le bombardement par l’armée ukrainienne d’une ville ukrainienne de plus d’un million d’habitants, effectivement ne choque plus. L’on y trouve même une certaine logique - médiatique, voire politique. En tout cas une posture faute d’une position. Alors, un exemple parmis beaucoup d’autres, Le Figaro écrit sur la détérioration des conditions de vie des gens pris en otage dans une ville en guerre, mais toujours en entretenant le flou sur les responsabilités de qui tire sur qui, qui lance les roquettes sur la ville, pour en arriver à cette question, comme un cri préparé et mal joué sur une scène de théâtre de banlieu : et Moscou va-t-il venir à leur aide ? Car c’est ça le plus important. Les morts, les blessés, les souffrances, peu importe, ce n’est que le décor. Même si la question est incongrue, car ce même Moscou est jugé responsable de la situation. Mais peu importe, l’on n’est plus à une absurdité près. Donetsk a même fait intrusion au 20h de France 2 hier, sans qu’il soit possible de comprendre quoi que ce soit, sauf que des gens meurent et qu’il y a des méchants pro-russes contre lesquels l’armée ukrainienne se bat. Bref le cadre médiatique est prêt.


Et il est évident que Donetsk doit être pris à n’importe quel prix, l’arsenal lourd se met en place autour de la ville, l’attaque est incessante, mais la véritable Bataille de Donetsk n’a pas encore commencé. Pour certains, cela ne saurait tarder, une question de jours. Et le fait que l’armée ukrainienne vienne de perdre encore 500 hommes à Ilovaïsk, à 35km de Donetsk, sans que cela ne remette quoi que ce soit en question, montre que les pertes humaines ne sont pas un critère pour lancer ou retarder l’attaque. Elle sera sanglante, mais elle doit être gagnée, pour Poroshenko. C’est sa crédibilité qui est en jeu.

Pour cela, ses sponsors lui viennent en aide. Le Canada a encore envoyé un Boeing rempli de cadeaux pour l’armée ukrainienne. Il vient d’attérir à Kiev. Ca tombe bien.

Pendant ce temps là, la Russie a du mal à faire entrer un convoi, lui, humanitaire. Il est parti sous l’égide de la Croix rouge, mais sans garantie qu’il arrivera à bon port. Qu’il entrera sur le territoire. Qu’il ne soit pas la cible d’une attaque. Le fameux casus belli tant recherché. Mais un conflit direct avec la Russie fait peur et l’attaque de Donetsk porterait ce risque.

Pourtant, cette bataille est décisive. Si l’armée ukrainienne prend la ville, c’est la fin de la République populaire de Donetsk, encore quelques combats de rue et ensuite la normalisation et la victoire du régime de Kiev. Et la Russie perd toute l’Ukraine, pour très longtemps, avec toutes les implications notamment en terme de transit du gaz. Si l’armée ukrainienne perd, Poroshenko est en très mauvaise posture, l’Occident pourra encore accuser la Russie, mais cela ne changera rien à la donne. Pourtant, Donetsk peut-il gagner sans un soutien de la Russie, au moins à moitié équivalent à celui que reçoit l’armée régulière ukrainienne de l’étranger ? En technique, mais aussi en hommes, venant combattre une certaine idée de la Russie sur les terre ukrainiennes, soigner dans le sang leurs complexes historiques, comme ces lettons qui viennent d’être trouvés au nombre des morts pour la patrie ukrainienne à Ilovaïsk.

Karine Bechet-Golovko

mardi 12 août 2014

Russie politics

Mise en ligne CV : 12 août 2014

 

http://www.comite-valmy.org/spip.php?article4898

 

 

La défaite militaire de l’Enclave Sud :
l’armée ukrainienne perd 3500 hommes
par Karine Bechet-Golovko

mardi 12 août 2014, par Comité Valmy


La défaite militaire de l’Enclave Sud :
l’armée ukrainienne perd 3500 hommes

http://centerkor-ua.org/obzory/karta-soprotivleniya.html

 

Voici la carte de la zone du conflit au 1er août 2014, au moment où Poroshenko voulait encore avoir le contrôle des frontières avec la Russie, car celle-ci est censée envoyer quantité de matériel militaire et d’hommes en soutien aux combattants du Donbass. La question était donc stratégique. Cette opération, lancée il y a plus d’un mois, est maintenant arrivée à son terme et c’est un échec sanglant, comme le reconnait implicitement Poroshenko , qui demande l’ouverture d’une enquête pour en comprendre les raisons. Le bilan donne la mesure du désastre. 5500 hommes appartenant à différentes brigades d’élite de l’armée ukrainienne sont jetés dans le feu. Environ 600 se sont sauvés en Russie, quelques centaines sont sortis de l’encerclement, et environ 1 millier, selon Kiev, en combattant. Résultat, environ 3000 - 3500 y sont restés. La quasi-totalité du matériel militaire est resté sur place après la défaite.

Quelles sont les implications d’une telle catastrophe humaine et militaire de la part d’une armée régulière ?

En effet, pour reprendre le contrôle de la frontière russo-ukrainienne dans le Donbass, l’Ukraine lance ses meilleurs soldats et de nombreuses armes dans cette Enclave Sud, située au sud de Krasnodon, à l’est de Krasnyi Lutch et au nord de Snejnoe. Selon une source anonyme au ministère ukrainien de la défense, le désastre est total. Sur les 72e, 24e et 51e brigades mécanisées, la 79e brigade aéromobile et le 3e régiment des forces spéciales du GUR (le département principal du renseignment militaire auprès de l’état-major), il ne reste presque plus rien et les chances pour que des blessés aient été fait prisonniers par les combattants sont presques nulles, donc les chances de retrouver des survivants également. Ces deux dernières semaines, seuls 4 groupes de 7 à 18 personnes ont pu en sortir.

Il ne reste, au 9 août, de ces groupes d’élite, composés au départ d’environ 5500 militaires :
•de la 72e brigade : 467 vivants,
•de la 24e brigade : 473 vivants,
•de la 51e brigade, qui a pratiquement tout perdu : 136 vivants,
•de la 79e, qui a subi les plus grandes pertes : 369 vivants,
•du 3e régiment du GUR il ne reste qu’un bataillon.

C’est une défaite, non seulement politique, mais surtout militaire, sans précédent pour une armée régulière en Europe en situation de "non-guerre". Plusieurs questions se posent : que faire avec les soldats survivants ? que faire du matériel militaire laissé sur place ? quelle réaction politique va suivre ?


Les soldats survivants dérangent Kiev


Et Kiev ne sait vraiment pas quoi faire des survivants. Dès le départ, le ministère ukrainien avait annoncé tous les 3500 comme disparus ou morts. Mais des hommes de la 72e, comme avant de la 79e brigade qui s’étaient réfugiés en Russie, sont rentrés au pays. Rappelons qu’ils furent libres de leurs mouvements en Russie, nourris et soignés aux frais de l’Etat russe. Et Kiev ne sait pas quoi en faire. Car si l’Ukraine n’est pas officiellement en guerre contre la Russie, elle la considère comme son ennemi réel. Les soldats sont donc passés sur le territoire ennemi avant de revenir.

Ces soldats ont été chargés dans des camions et envoyés loin de la zone de combat pour être interrogés et mis au silence. Leur comportement face à la hiérarchie militaire ukrainienne et face à cette guerre particulièrement sale a radicalement changé. Certains furent considérés comme des traitres par le chef A. Paroubiy. Mais ils ont survécu à des combats sanglants et ne se sont pas transformés en chaire à canon. Alors, héros ou traitres ?

Allez savoir. Le pire est qu’ils peuvent parler et raconter. Quand le mécontentement monte dans tout le pays, que les mères de soldats ne savent pas ce qu’il est advenu de leur fils, que les épouses ne veulent plus laisser partir leurs hommes dans cette guerre qu’elles ne comprennent pas. Et on leur a dit, à ces malencontreux survivants : ils portent préjudice à la mobilisation "partielle" du pays, quelle image donnent-ils ?


Le matériel militaire n’a pas été détruit avant d’être abandonné


Selon les survivants, les pertes en matériel militaire sont énormes pour l’armée ukrainienne, qui avait réellement investi ses forces pour encercler les combattants de toutes parts et s’est elle-même retrouvée enclavée à la frontière russe dans le sud.

Ainsi, l’armée ukrainienne aurait perdu 90% du matériel militaire des 24e et 79e brigades et 100% du matériel militaire de la 72e brigade.

Et ici la liste des pertes matérielles ponctuelles ukrainiennes du 21 juillet au 5 août qui ont été récupérées par l’armée du Donbass (parfois en échange de la sortie libre des soldats vers la Russie) :


Ce qui donne pour ces quelques jours : 22 tanks, 43 véhicules blindés, 12 lance-roquettes Grad, 8 canons à moteurs et différents systèmes d’artillerie. Et maintenant cela et tout le reste est entre les mains des combattants.

La Russie sera certainement très prochainement accusée de fournir du matériel militaire aux combattants, car l’on retrouvera dans la zone de combat des armes "russes", utilisées puis abandonnées par l’armée ukrainienne, mais cela on "oubliera" de le signaler.


Un revers politique pour Kiev


Les défaites existent en temps de guerre, mais celle-ci est particulièrement désastreuse. Il va devenir de plus en plus difficile de cacher les pertes humaines à la population, surtout quand les avions chargés de corps s’enchaînent.

Par exemple Odessa, qui reçoit le 9 août 3 avions remplis de corps. Et ce n’est qu’une partie des morts dans l’Enclave Sud. 3 avions avec des corps uniquement d’habitants de la ville, à qui on avait annoncé des pertes de l’ordre de 4 ou 6 gardes-frontières. Comment cacher les faits ?

On ne peut plus et les questions embarrassantes commencent à être posées au Gouvernement ukrainien. Ainsi, S. Gorokhov, vice-président du groupe parlementaire "Pour la paix et la stabilité", a déclaré à la Rada : "Nous avons compté que, pour les seules deux premières semaines de juillet, dans le cadre de l’Opération anti-terroristes, sont morts environ 2500 soldats. Pour cette période, il y a eu plus de 5000 blessés. Les victimes civiles des actions militaires se comptent en plusieurs milliers de nos concitoyens. Une grande partie d’entre eux sont morts des conséquences de leurs blessures. Ainsi, les chiffres intermédiaires des victimes de l’Opération anti-terroristes se montent à plus de 10000 victimes."

Les derniers chiffres officiels annoncés par l’Ukraine sont totalement absurdes : 568 militaires morts depuis le début des hostilités. Le décalage est tel, que personne n’y croit plus, même les bloggers ukrainiens. Il ne reste que les médias officiels pour les transmettre, et bien sûr les chancelleries occidentales. Et la situation devient ubuesque avec la déclaration du Président Poroshenko d’enquêter sur une défaite, dont les chiffres ne sont pas encore publiquement reconnus. L’Ukraine s’enferre dans le cercle absurde du mensonge.

Et évidemment, A. Paroubiy, secrétaire du Conseil de la sécurité nationale et de la défense, a déjà déposé sa demande de démission, sans évidemment en préciser publiquement les raisons, qui ne doivent pas être dévoilées à la population. Il faut bien un responsable, mais il vaut mieux encore que le responsable ne soit plus là au moment des comptes. Car le fait qu’il soit le cerveau de ce désastre est un bruit de couloir qui devient insistant.

Il est difficile de dire quelles sont les conséquences militaires de cet échec, si les combattants auront ou non la force de mettre en place une contre-attaque significative pour déplacer le front. Mais les conséquences politiques sont évidentes.

va être difficile pour l’Ukraine de continuer à dissimuler les pertes humaines, militaires et civiles. Et les médias occidentaux, qui gardent un pieux silence sur ces pertes, à peu près comme les médias ukrainiens, vont devoir réaligner leurs données. Mais comment traiter l’information ? Que dire aux familles des victimes ? Au nom de quoi, ou plutôt de qui, sont morts tous ces hommes ? Que faire de ces "traitres-héros" qui ont sauvé leur peau en Russie et ensuite sont tranquillement revenus en Ukraine ? Comment expliquer tout ce matériel militaire abandonné dans la plus grande panique par des brigades d’élite ?

Ils ne peuvent pas expliquer, donc ils ne peuvent pas en parler. Et avec un peu de chance, tout ce dont on ne parle pas, n’existe pas.

Karine Bechet-Golovko

lundi 11 août 2014

Russie politics

Mise en ligne cv : 11 août 2014

 

http://www.comite-valmy.org/spip.php?article4895

 

 

Est de l’Ukraine - 12 août 2014 - crise humanitaire - Moscou fustige le cynisme de l’Occident

 

Ukraine - 12 août 2014 - Les nazis de Kief confirment l’usage de mercenaires contre les communistes du Donbass

 

 

 


 

Et en Irak,

 

EIIL - ISIS - DAECH - 12 aout 2014 - L’Iran dénonce que les attaques des USA contre l’EI en Irak n’est qu’un acte théâtral

 

EIIL - ISIS - Daach - Daech - Une bonne excuse fabriquée par les USA pour revenir en Irak et pour bombarder la Syrie !*

 

EIIL - ISIS - Daach - Daech - Une bonne excuse fabriquée par les USA pour revenir en Irak et pour bombarder la Syrie !

dimanche 10 août 2014, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 10 août 2014).

C’est le même principe qu’a utilisé la France au Mali avec AQMI et le MUJAO. Lire à ce sujet l’article :

http://mai68.org/spip/spip.php?article7568

Et on sait que l’EIIL (Daech, ISIS, etc.) a sa direction qui appartient à la CIA et au Mossad (La preuve en est donnée tout en bas de l’article, dans un cadre de la même couleur que celui-ci, avec un titre rouge). Le chef de ce groupe « islamiste » est en fait un Israélien du Mossad.

Les gens concernés ne sont pas tous dupes. D’ailleurs, voici un court article d’une agence de presse iranienne en français :

 

Irak : Le pentagone s’apprête à bombarder la Syrie !!!

http://french.irib.ir/info/moyen-or…


Dimanche, 10 août 2014 06:43

IRIB- le chef d’état major interarme d’Irak a évoqué de possibles frappes aériennes de l’aviation US contre le sol syrien !

" les raids militaires US ne s’inscrivent pas dans la durée et ils s’étendront à l’avenir au delà de l’Irak , en Syrie où ils devront viser les positions de Daech !, a affirmé le général Babakar Zébari. Le général qui sortait d’une réunion conjointe avec les peshmarghas a confirmé l’envoie d’un convoi d’armes lourdes par Bagdad à destination du Kurdistan irakien. depuis vendredi, l’aviation américaine a mené plus de 4 raids contre les positions de Daech non loin de la ville d’Erbil. selon les analystes politiques, Daech a fourni un prétexte en or aux Américains pour un retour "triomphal" en Irak quatre ans après leur retrait humiliant de la Mésopotamie.

 

AQMI, et donc aussi ses descendances, comme le MUJAO, appartiennent aux services secrets français (vidéos-preuves avec un journaliste de Canal+) :

http://mai68.org/spip/spip.php?article1372

Samedi 8 octobre 2012 : Que se passe-t-il au Mali avec les Touaregs ?

Pour fabriquer de toutes pièces une excuse pour envoyer des militaires au nord du Mali déloger le MNLA et les Touaregs, la France a commencé par envoyer AQMI dans cette région. Ainsi, au Mali, la France peut faire la guerre aux Touaregs et au MNLA en faisant semblant de la faire contre AQMI. Comme quoi, une guerre peut en cacher une autre :

http://mai68.org/spip/spip.php?article4550

(La guerre de Hollande au Mali était destinée aussi à sauver un dictateur à la botte de la France, et à empêcher l’arrivée au pouvoir du très sankariste capitaine Sanogo (extrême gauche).)


L’EIIL est un agent du colonialisme occidental (vidéo 41’07) :

http://mai68.org/spip/spip.php?article7759

(Et son chef, qui se fait appeler Abou Bakr al-Baghdadi, s’appelle en réalité Simon Elliot, de père juif, de mère juive, et formé par le Mossad !)

 

 

Sur Gaza,

 

 

.

.
Israël : le serment d'allégeance de Valls

 

 

 

 

Révélations d'un ancien cadre d'Al-Qaïda sur l'EIIL (En Français)

 

 

 

Enfin La vérité sur le printemps arabe

 

Visitez aussi ce site d'information,

 

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